🚨🇫🇷 𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘 𝗜𝗡𝗙𝗢 — À la Fête de l’Humanité, des enseignants militants LGBTQIA+ donnent des « astuces » pour IMPOSER leurs idéologies auprès des élèves, en contournant la loi. pic.twitter.com/uZMcCl0q9X
— Bastion (@BastionMediaFR) September 16, 2025
«On est très très fort pour tricher, donc on triche.» Julia Torlet, présidente de SOS homophobie, lesbienne revendiquée et professeur de lettres classiques, s’exprime sans complexe dans un extrait vidéo relayé ce mercredi 17 septembre. On «peut aller plus loin» et «c’est ce qu’il faut faire» sur le programme Evars d’éducation à la sexualité. Si «parler politique» est interdit, il faut tourner le terme politique «dans le sens qui nous arrange». «C’est comme ça qu’on impose les identités LGBTI dans la société».
L’échange s’est tenu le samedi 23 août à Valence lors des universités d’été de la France insoumise. La conférence, intitulée «Sous les paillettes, la précarité : la grande vulnérabilité sociale des personnes LGBTI» rassemblait la drag queen Emily Tante, la députée LFI Ségolène Amiot et Julia Torlet.
«J’adorerais pouvoir parler de ma bisexualité avec mes élèves», lance à l’adresse des conférenciers une jeune femme qui se présente comme «étudiante en master MEEF pour être professeure de SVT». «Le souci c’est qu’on me répète H24 en cours que le prof se doit d’être neutre politiquement et je sais très bien que l’Éducation nationale risque de me tomber sur le dos si je le fais».
La jeune femme évoque aussi «l’Evars», le très controversé programme d’éducation à la sexualité. Un programme qu’elle qualifie de «nul à chi*r» et n’allant «pas du tout assez loin».
La présidente de SOS Homophobie encourage à contourner insidieusement la loi. «Deuxième chose, on dit qu’il ne faut rien dire. Mais on est très très fort pour tricher, donc on triche».
«Moi j’ai jamais dit à mes élèves que j’étais lesbienne». Mais «j’ai des lacets arc-en-ciel» et «je vais en classe comme ça». «Donc les élèves, c’est écrit sur moi. Voilà. Et c’est comme ça qu’on triche. Et c’est comme ça qu’on impose les identités LGBTI dans la société.»
Sur l’Evars, Julia Torlet assure enfin qu’on «peut aller plus loin» et que «c’est ce qu’il faut faire».
«Ne pas hésiter à passer par les postes de référents référentes égalité dans les établissements scolaires qui sont une vraie porte d’accès».
Julia Torlet affirmait en juin 2024 vouloir mettre «le combat pour les transidentités, l’encadrement d’une GPA éthique, la lutte contre la lesbophobie et la défense de la visibilité lesbienne» au cœur de son mandat.
SOS Homophobie est agréée par l’Éducation nationale au titre des associations complémentaires de l’enseignement public.
L’Etat doit supprimer cet agrément et les subventions à cette association militante. Et l’Education nationale doit mieux contrôler les établissements où enseignent ces militants.