Lu sur Benoît-et-moi :
"Peu avant Noël, un ami à nous […] se rend en vélo au cimetière, pour se recueillir sur la tombe familiale. Il constate alors que des pots de fleurs brisés gisent par terre devant la chapelle, et que les vitraux ont été cassés. Il s'agit manifestement d'un acte de vandalisme – sinon de profanation (puisque c'est la Sainte-Vierge et le Christ qui ont été visés).
Il se rend à la police pour signaler le forfait. Le fonctionnaire présent prend note.
Presque trois mois après les faits, il n'y a eu aucune suite. Pas une ligne dans la presse locale (pourtant très sourcilleuse dès qu'on relève le mondre trait de crayon sur la façade de certains édifices). Rien."
Marie
Un de nos amis et non “un ami à nous”.
Cette faute qui devient commune mérite un “sic” lorsqu’elle est reportée.
Manon
Des vitraux du XIIIème siècle, de La Vierge Marie et du Christ, ont été fracassés, en Alsace, à Strasbourg et il n’y a pas de suite judiciaire ? Où es-tu, Alsace si fervente de notre enfance ?
Sylvie
Comme c’est un cimetière chrétien avec une chapelle et des vitraux du 12ème siècle, la plainte a dû être classée sans suite. Le sacré catholique n’est plus respecté. Ah si cela avait été un cimetière musulman, on entendrait les propos des marx-merdias et de leurs procureurs !
Sancenay
Comme il semble loin ce siècle qui “appelait encore au secours” !
Marie
Je ne suis pas la “Marie” qui a publié le premier post bien mesquin .