Toutes proportions gardées, on pense aux Bouddhas de Bâmiyân. Un aspect talibanesque :
"Le centre diocésain de Besançon, situé rue Mégevand, en plein centre
ville de Besançon, est ouvert au public de 6 heures à 21 heures. Dans les couloirs de cet établissement, des oeuvres sont présentées, des statues y sont exposées. Il s'agit, en même temps, d'un centre cultuel et d'un centre
culturel. Deux cents personnes y travaillent et une maison de retraites
accueille une cinquantaine de prêtres âgés.Les dégradations se sont produites les nuits des 16 et 17 avril, puis la nuit du mercredi 24 avril dernier. La personne qui commet des dégradations se laisse-t-elle enfermer dans
le centre diocésain ? Si une enquête est menée, rien ne permet encore de
répondre à cette questions.Ont été dégradés : des moulages de bas-reliefs réalisés dans les
catacombes de Rome et une statue de Sainte Catherine. Les oeuvres ont
été fracassées sur la cuvette des toilettes. […]"