De Thierry Boutet dans Le Nouveau Conservateur :
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borphi
En même temps , Monsieur Boutet, les déserts médicaux aidants, les médecins ont moins le temps de diagnostiquer leurs patients entre quatre yeux qu’entre moult statistiques , tableaux , écrans et directives des sacro-saintes ARS…
La médecine d’Hyppocrate se meurt!
Meltoisan
Non seulement “la médecine” mais bien plus grave encore : “Le serment” !
Coulomb
Il faudrait connaître et appliquer les enseignements du docteur Paul Carton.
Selon lui les maladies ne sont dues, sauf accident, qu’à des manières de vivre en dysharmonie avec les capacités mentales ou physiologiques de l’individu. Elles guérissent d’elles-mêmes dès que cessent leurs causes, dans la mesure où celles-ci n’ont pas persisté jusqu’aux échéances irréversibles. Les causes sont décelés à la fois par l’interrogatoire du patient et par l’observation de l’ensemble des symptômes, que P. Carton a minutieusement décrits dans ses “Syndromes d’aptitude morbide”, sorte de Code de la Santé naturelle, qui est son oeuvre originale. Les ordonnances du médecin visent essentiellement à modifier les conditions de vie du patient, principalement son régime alimentaire. L’emploi des traitements symptomatiques et pharmaceutiques n’est jamais qu’accessoire et exceptionnel. Les immunités naturelles sont ainsi avivées, ce qui évite les maladies infectieuses ou les rend bénignes. Cette médecine exige la collaboration loyale et sincère du patient, moyennant quoi elle fait de celui-ci le principal artisan de sa santé et lui permet de devenir peu à peu son propre médecin, exclusivement par le simple jeu des actes ordinaires de la vie: alimentation, travail, repos, exercice, loisirs, etc., judicieusement adaptés à l’individu et à son évolution au cours des saisons et des années.
Ce texte est tiré de la page 4 de couverture de “La Cuisine Simple”, un des nombreux ouvrages de ce médecin qu’on peut encore trouver chez DPF – BP 70001 – 86190 Chiré-en-Montreuil.
Ceux du docteur André Schlemmer, son élève et collaborateur, ne peuvent se trouver que d’occasion. Ils mériteraient eux aussi d’être réédités.
zongadar
ou comme l’a écrit le Dr Ph.Dransart en titre de son livre “La maladie cherche à nous guérir”.