Dans l’édition de demain à propos du reportage sur les Talibans qui ont tué les soldats français :
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Est-il exact que la journaliste de Paris Match, Véronique de Viguerie, a payé 50 000 dollars pour permettre aux talibans de faire leur propagande ? De l’argent qui servira à acheter des armes qui tueront nos soldats…
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Est-il exact que le journaliste de Paris Match, Eric de Lavarène, n‘était pas sur place – malgré ses déclarations – mais dans son bureau de presse au Pakistan ?
MJ
Boris
J’ai entendu les 2 journalistes le jour ou la veille de la publication de leur œuvre.
M. de Lavarène n’était effectivement pas sur place car d’après lui, les talibans ne voulaient pas :
– être vus avec des occidentaux,
– masqué un homme sous une burka, alors que sa collègue, en tant que femme, le pouvait.
O Rei Sebastiao
le bureau était situé dans un hotel 5*?
Luc Meigret
Le Pen a posé une bonne question : pourquoi l’espionnage français n’a-t-il pas réussi (avec 50 000 euros au besoin) à retrouver la trace de ces talibans et à les châtier ?
Pourquoi des journalistes ont-ils réussi là où l’espionnage n’a pas voulu ou n’a pas réussi?
RIRI
Présent pose de bonnes questions mais n’a sans doute pas la naïveté de croire que Paris-Match va y répondre clairement (si même il répond). Même commentaire à propos de la question posée par Le Pen et rappelée par Luc Maigret. Il y des questions qui fâchent or il ne faut pas se fâcher.