Extrait :
"Il faut être carrément benêt pour penser que l’argent prélevé à l’occasion d’un contrat d’armement ou d’un marché public et destiné en principe à un homme politique sert exclusivement à financer ses campagnes électorales ou à renflouer les caisses d’un parti. Si 50 % de ces sommes, en comptant large, y concourent, nous a toujours répété un juge d’instruction, connaisseur de ces pratiques, les 50 % restant sont “in the pocket”."