Extrait de l’article écrit par Jean Madiran et publié dans Présent daté de demain :
"Fallait-il refuser cette présence ? Ou exiger une préalable rétractation de ses antécédents discutables ? Un parti politique n’est pas une église, il ne demande pas que l’on soit en état de grâce pour accéder à sa communion. Et d’ailleurs Dieudonné n’apportait pas une demande d’adhésion.
La vocation originaire des BBR, c’était d’instituer une fête populaire en réplique à l’annuelle fête populaire de L’Humanité, à laquelle vient toute la gauche. Les BBR ont bien réussi à être une grande fête populaire, mais la droite, incapable d’en faire autant, a toujours refusé d’y venir. Que Dieudonné lui fasse honte !"
Pascal G.
Ce serait de plus très drôle si Jean Madiran demandait une chronique hebdomadaire à Dieudonné dans PRESENT. Un journal n’est pas une Eglise, et il n’est pas nécessaire d’en partager toutes les idées pour en utiliser les colonnes afin d’exprimer les siennes. Son nom même, DIEUDONNE, est une prédestination à venir chroniquer dans PRESENT.
PRESENT ne pourrait ainsi que prolonger cette présence que Jean Madiran approuve chez JM LP. Et comme Thierry MEYSSAN est un pote de DIEUDONNE, il pourrait lui aussi écrire dans PRESENT, puis ainsi reconnu comme acceptable par Jean MADIRAN, venir aux BBR l’an prochain.
S’il n’est pas nécessaire de reconnaître de fâcheux antécédents, il est vrai que toute provocation devient possible, à défaut d’être nécessaire.