Partager cet article

France : Politique en France

Dimanche c’est Poisson

Minute vote Poisson :

M"[…]  Il n’existe qu’un seul « vote utile », c’est de voter pour ses idées. Surtout au premier tour. Au second tour, on élimine – et il faudra éliminer Juppé s’il est l’un des deux à sortir du chapeau –, mais au premier, on choisit. On accomplit un acte positif. On affirme son choix de société. On défend ses valeurs essentielles. Comme le dit Jean-Frédéric Poisson, à destination de ceux qui trouvent toujours une bonne raison de ne pas aller voter ou de voter comme ils joueraient au billard (« Si Fillon est au second tour, il a une chance de battre Juppé », « Si c’est Sarko qui l’emporte, Marine Le Pen peut le battre », etc.) : « A force de ne pas soutenir les candidats qui pensent comme vous, vous les découragerez et vous n’aurez plus personne pour vous défendre. »

Jean-Frédéric Poisson est le seul de tous les candidats à la primaire, et même le seul au sein de tous les partis dits « de gouvernement », comme l’a relevé Guillaume de Thieulloy, à avoir dit « ce qui le rapproche du FN et ce qui l’en éloigne », estimant même qu’il fallait « en finir avec le cordon sanitaire autour du FN ». […]

A la question que lui posait récemment TV Libertés (« Vous êtes conscient d’être plus proche de Marion Maréchal-Le Pen que de Nathalie Kosciusko-Morizet ? », Jean-Frédéric Poisson a répondu : « Bien sûr, oui. Evidemment. » Il avait ajouté : « La question qui est posée dans votre remarque porte sur une éventuelle recomposition des droites ou de la droite. Chacun attend ça avec beaucoup d’impatience. » De son côté, Marion Maréchal-Le Pen avait déjà reconnu avoir, elle aussi, « beaucoup d’accointances politiques » avec Poisson, qu’elle avait autorisé à dire que, si elle devait voter à la primaire, elle voterait en sa faveur. « J’aime bien Jean-Frédéric Poisson », avait-elle eu l’occasion de confirmer publiquement. Finalement, il n’y a que Florian Philippot à seriner qu’il « ne partage rien » avec le président du PCD, et ça, c’est tout aussi rassurant !

Aux « primaires citoyennes » de 2011 – en réalité la primaire du PS –, où François Hollande l’avait emporté, Arnaud Montebourg avait recueilli 17,19 % des voix. Il est devenu ministre et, quatre ans plus tard, il pourrait devenir le candidat de la gauche pour la prochaine élection présidentielle. Manuel Valls, qui avait recueilli 5,63 % des voix, est devenu premier ministre. Même Jean-Michel Baylet, avec ses 0,64 %, a été nommé ministre. Il ne s’agit pas de « faire la carrière » de Jean-Frédéric Poisson, mais de lui permettre de porter plus loin, plus haut, plus fort, en influant sur les décisions politiques, et donc sur la société française, un projet qui est, dans ses fondamentaux qu’il expose cette semaine dans nos colonnes, en rupture totale avec l’essentiel des actes accomplis par la droite au pouvoir. Dimanche, nous voterons pour Jean-Frédéric Poisson. Et vous ?"

Partager cet article

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services