Une plainte avait déjà été déposée en 2001 contre le directeur pédophile de l'Isère, alors instituteur, pour un "geste déplacé" à l'encontre d'une petite élève, mais la plainte avait été classée sans suite. Non suivie de condamnation, cette plainte ne figurait pas à son casier judiciaire, mais un signalement avait tout-de-même été donné à l'Education nationale.
Condamné en 2008 pour recel d'images à caractère pédopornographique entre 2005 et 2006, le directeur, alors instituteur, avait écopé d'un sursis assorti d'une obligation de soins. Cette condamnation n'avait jamais été portée à la connaissance de l'Education nationale.
Ce sont les enfants qui font les frais de la non-collaboration entre les ministères et du laxisme de la justice à l'égard de ce genre de personnage, sans compter la désinvolture de l'Education nationale, qui laisse des pédophiles notoires ou même supposés travailler avec des enfants, pour ne pas les "stigmatiser" sans doute.
jejomau
Les LGBT sont protégés…. Comme c’est bizarre…..
n
On attend avec impatience que Plantu reprenne son grand succès sur Benoît XVI, avec cette fois-ci le ministre de l’Education nationale de l’époque, Jack Lang.
tanneguy
N’oubliez pas que ce directeur d’école était un militant socialiste, candidat aux élections municipales à St Georges d’Espéranche en 2008; ardent syndicaliste ( de gauche).
MEIERS
Quand vous dites ” Ce sont les enfants qui font les frais de la non-collaboration entre les ministères et du laxisme de la justice à l’égard de ce genre de personnage” il faut différencier. Car ces derniers mois l’ont montrés il existe un domaine où cette collaboration fonctionne très bien, mais là aussi au préjudice des enfants. C’est tous les cas où des enfants ont été signalés à la police pour ne pas avoir respectés la minute de silence suite à l’attentat de Charlie Hebdo, respectivement ont tenus des propos considérés par leurs enseignants et les directeurs d’établissement comme de l’apologie de terrorisme.
En résumé lorsque dans l’école républicaine des professeurs pédophiles sont mis en cause, leur réputation est protégée, puisque l’éducation nationale, leur administration de tutelle n’est pas informée par la police ni le parquet.
Lorsque par contre des enfants tiennent des propos jugés “pro-terroristes” en classe ils sont livrés par les enseignants à la police.
Dans un cas comme dans l’autres professeurs et élèves de l’école républicaine sont cantonnés dans des rôles préetablis et inchangeables. Les professeurs au choix dans celui du pédophile et/ou de la balance policières intouchables, les élèves dans tous les cas dans celui des petites victimes de pédophilie ou de dénonciation!
sophie
Le problème, le dernier rapport de l’Inspection générale de l’Education nationale qui s’est penché sur cette question date de 1998 ! Et déjà on estimait à l’époque qu’en moyenne entre 160 et 200 enseignants étaient condamnés chaque année pour des faits de pédophilie ! Bien entendu, à peine 10% des enseignants condamnés seront radiés de l’Education nationale ! Les autres seront tout simplement déplacés. Et le plus souvent sans chercher à prévenir leurs supérieurs hiérarchiques !
C’est un peu comme-ci un alcoolique sanctionné par un tribunal pour délit de boisson, était à nouveau laissé à travailler dans la vente d’alcool ! L’être humain est faible, à la société de l’aider ! Non ? Alors un prof pédophile devrait être recasé dans l’administration et pas laissé devant des élèves ! Pourquoi vouloir tenter le diable ?