Dimanche dernier, en soutien à Nicolas :
«Chers amis, je prends la parole devant vous
au nom des avocats qui défendent les manifestants, et je m’adresse surtout aux
plus jeunes.Quand la police use de la violence pour interdire
ou disperser des manifestations pacifiques,Quand on est condamné pour ses idées et non pas
pour des faits répréhensibles,C’est que l’Etat de droit glisse peu à peu vers un
Etat totalitaire.La lâcheté d’une certaine police qui tape et qui
bâillonne,Le zèle de ces petits juges aux ordres qui
condamnent et qui emprisonnent,Sont le signe d’un pouvoir politique arrogant et
devenu illégitime.
ALORS OUI, c’est en résistance qu’il faut
entrer :
- résistance des mots : le mariage c’est
l’union d’un homme et d’une femme, quoiqu’en dise une loi scélérate, - résistance des idées : l’idéologie du genre
doit être combattue avec la plus grande énergie, - résistance en actes et résistance des cœurs
aussi.
C’est tout cela à la
fois, la résistance :
- des
familles, - des
mères veilleuses, - des
élus municipaux, - des
veilleurs, - de
Nicolas et de la jeunesse de France.
Alors, puis-je vous suggérer quelques
recommandations pratiques ?Si vous êtes coursés : courrez, courrez
vite : il n’est pas illégal de courir devant un gendarme déguisé en
scarabée. Et puis filmez, filmez encore, filmez toujours : les preuves
collectées sont alors incontestables.Si vous êtes placés en garde-à-vue :
- exigez toujours la visite d’un avocat et celle
d’un médecin, - niez les faits erronés et les accusations
gratuites, - préférez la vérité au mensonge, même au poste de
police, - et si c’est trop dur de parler ou si l’on vous
presse de dénoncer vos camarades : résistez par le silence et les
sourires.
Et toujours, défendez-vous de la violence, car ils
n’attendent que cela : vous accuser de violence. Ils ne cherchent que
ça : vous condamner pour violence. Or, la résistance, ce
n’est pas la rébellion ! La rébellion c’est la violence, et la violence c’est eux :
- violence faite aux enfants dans ces attelages de
même sexe, - violence faite aux jeunes manifestants tabassés
et gazés, - violence faite à la Famille,
- violence faite à notre liberté de conscience.
Chers amis, vous êtes
les héritiers d’EPAGATHUS, ce jeune citoyen romain et lyonnais qui s’est élevé
contre un pouvoir totalitaire pour défendre les faibles et les petits.VOTRE COMBAT EST
NOBLE ! Comme Epagathus, comme Nicolas : NE LÂCHEZ RIEN !!!»