DSK vient d'être libéré sur parole après les diverses enquêtes menées sur la plaignante. Les services du procureur ne croiraient plus vraiment aux déclarations de la femme de chambre. Il reste que la réalité de rapports sexuels, le 14 mai, dans la suite du Sofitel de Manhattan, a été établie par les analyses ADN.
A la sortie de l'audience, les avocats de la plaignante ont raconté, avec force détails, l'agression sexuelle.
Coïncidence troublante, 48 heures à peine avant la comparution surprise de DSK au tribunal pénal de New York, la patronne de l'unité des crimes sexuels de la police new-yorkaise, Lisa Friel, a subitement quitté ses fonctions.