En France, la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) reconnaît l’existence au Togo d’un « groupe social » des personnes homosexuelles, leur donnant droit au statut de réfugié si elles en font la demande. La décision a été prise le 17 juillet après l’examen du cas d’un Togolais, ayant fui son pays en raison de son orientation sexuelle. Lorsque la famille de ce trentenaire découvre son homosexualité, elle l’attache et le soumet durant une semaine à de mauvais traitements. Par chance, une amie s’interpose et il arrive à s’enfuir.
La CNDA est allée plus loin en considérant la communauté LGBT+ au Togo comme un groupe social, c’est-à-dire comme un groupe partageant certaines caractéristiques, une identité propre perçue comme étant différente par la société environnante ou par les institutions. Et les persécutions liées à l’appartenance à un groupe social donnent droit au statut de réfugié tel que défini par la convention de Genève de 1951.
Cette décision de la CNDA bénéficiera donc à tout Togolais, reconnu comme appartenant au groupe social LGBT+, qui demanderait la protection de la France.
Michel
Comme si ce “groupe social” n’était pas suffisamment représenté dans la macronie et notamment au gouvernement, sans aller chercher des Togolais…
F. JACQUEL
N’importe quel Togolais se proclamant LGBTQXYZ+ sera donc désormais accueilli à bras ouverts sur un tapis rouge. Je suggère d’étendre cette disposition à tous les pays d’Afrique et musulmans : cela garantira l’efficacité du Grand remplacement.