Pour le 1er ministre turc, "l’évocation de quelques traits significatifs du mouvement historique dans lequel la République de Turquie est engagée, et du «désir d’Europe» qui anime l’immense majorité de mes concitoyens, devrait suffire à rassurer ceux qui craignent que nous ne puissions partager
pleinement les valeurs et les objectifs de l’Union."
Ben non, cela ne nous rassure pas car ce désir, par le passé, a valu à l’Europe beaucoup de souffrances, de sang versé et de douleurs. Hier, l’Arménie chrétienne a été ravagée par l’ogre turc qui continue à nier son crime. Encore maintenant, la moitié de l’île de Chypre est occupée au mépris de la loi des Nations…
Désir d’Europe ? Désir d’avaler l’Europe…