M6 diffusera le 1er octobre un numéro de son magazine d’information Dossier Tabou consacré aux oppressions dont les femmes sont victimes au quotidien, intitulé « Harcèlement sexuel, les femmes n’en veulent plus ». Ce documentaire, signé Valérie Rouvière et présenté par Bernard de La Villardière, évoquera différentes formes d’oppression dont les femmes sont victimes au quotidien, dans la rue ou sur leur lieu de travail.
- Le harcèlement de rue
Les images sont tournées en caméra cachées. Une dessinatrice de 28 ans se promène dans Paris (on reconnaît Barbès) et son parcours est fréquemment interrompu par des passants. Un homme l’invite à boire un café, un autre lui demande une cigarette et lui dit qu’elle est mignonne, un troisième lui explique que « l’homme est fait pour chasser » et glisse : « Ce soir, vous serez pour moi ». Autre balade dans la rue, cette fois-ci le soir. Le commentaire avance que la jeune femme est invectivée cinq fois en cinquante secondes : « J’aime ton style », « T’es mignonne », « Tu cherches quelque chose ? »… « Je ne vais pas répondre, sinon, j’en aurais pour toute la nuit », s’agace la jeune femme. La situation est d’autant plus insupportable pour cette Parisienne qu’un soir, un homme s’est jetée sur elle dans le hall de son immeuble. Elle a réussi à se débattre et à faire fuir son agresseur, mais depuis, elle est sur le qui-vive. La voix off précise que « les femmes sont de moins en moins à l’aise dans la rue » et cite une étude de l’Insee : 10 % des femmes âgées de 18 à 29 ans déclarent avoir déjà subi une tentative d’attouchements ou de baisers non consentis au cours de l’année.
- La culture du viol
Quatre étudiantes s’immobilisent dans l’une des artères les plus fréquentées d'une grande ville de France. Elles sont chacune vêtues différemment, l’une en tenue sportive, une autre en pantalon tailleur et escarpins, la troisième en short en jean et petit haut, tel qu’on en trouve des dizaines chez H & M, et la dernière avec un top en dentelle, comme les affectionne Kylie Jenner. Les passants sont invités à coller un post-it sur celle qui porte la tenue « la plus provocante ». Certains ne se font pas prier et y vont de leurs commentaires goguenards, empreints de jugements définitifs, et souvent problématiques. « Je l’agresserai avec plaisir, elle », rigole l’un d’eux. Les réactions varient selon les générations. « Je les trouve toutes les quatre très bien, je ne vois rien de dérangeant », déclare en substance une quinquagénaire. « Les plus extrémistes sont les mineurs », note le commentaire. On entend alors une jeune fille désigner l’une des étudiantes et glisser, « si elle se fait agresser, c’est de sa faute ». Auparavant, la voix off a précisé qu’un Français sur trois estime que la responsabilité d’un violeur est atténuée si la victime porte une tenue sexy.
- L’hostilité à la présence des femmes dans l’espace public
Dans une cité de la grande banlieue parisienne, une mère de famille redoute de se faire traiter de « pute » si elle se rend dans un café de son quartier. Elle explique qu’elle est arrivée du Maroc en 1989 et garde un souvenir réjoui de sa découverte de la France : « Ce n’était pas la même mentalité. Je me disais : « Je peux faire ce que je veux ». Je ne mettais pas le foulard ». Elle poursuit en affirmant que depuis 2005, elle met un voile à chaque fois qu’elle sort : « Y’a personne qui m’emmerde ». L’équipe de Dossier Tabou la suit en compagnie d’un collectif de femmes qui déplorent de ne pouvoir se rendre entre amies dans un café ou un restaurant sans craindre le regard des hommes. Les riverains qu’elles croisent tiennent des propos qui n’ont rien pour les rassurer. L’un d’eux leur assène : « Arrêtez de ramener vos mentalités de français ici ! » D’après le montage que l’on a pu visionner, seul un habitant prend la défense du groupe de femmes.
Stephe
Je m’étonne que dans ce pays en liberté très surveillée le CSA ne soit pas déjà saisi pour faire interdire de diffusion cette émission à évidence discriminatoire envers une large partie de la population.
Alpin
Ah , ces migrants ( en réalité réfugiés économiques exclusivement ) quels “séducteurs “!!!
Mais au fait, simple question : comment se fait-il que cette loi soit prise simultanément avec l’arrivée massive” des chances pour la France ”
Y aurait-il relation de cause à effet ????
http://www.bvoltaire.fr/viols-commis-migrants-allemandes-se-poursuivent-durant-vacances/
http://www.bvoltaire.fr/polonaise-vacances-a-rimini-violee-quatre-nord-africains/
http://www.bvoltaire.fr/epidemie-de-viols-europeennes-devoir-porter-culottes-blindees/
http://www.bvoltaire.fr/a-chapelle-pajol-femmes-se-sermonner-feministes/
Mesdames ,Mesdemoiselles ne faites plus jamais de jogging toute seule !!!
http://www.bvoltaire.fr/police-de-leipzig-recommande-aux-femmes-de-ne-plus-faire-jogging-seules/
professeur Tournesol
La secrétaire d’Etat y a déjà pensé!
https://www.ndf.fr/nos-breves/12-09-2017/on-est-en-train-de-travailler-sur-la-verbalisation-du-harcelement-de-rue-annonce-marlene-schiappa-immigration-toujours-plus-de-lois-liberticides/
Piotr
Et tout ça sans parler d’islam surtout !…
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“Il dit qu’il ne voit pas le rapport”
Eclaireur
“Auparavant, la voix off a précisé qu’un Français sur trois estime que la responsabilité d’un violeur est atténuée si la victime porte une tenue sexy.”
Je le dirais autrement: la responsabilité de la victime est augmentée si elle est vêtue comme les prostituées le sont.
==> ir/responsabilité des parents quand il s’agit d’une mineure (voire d’une majeure vivant chez eux).
Semper Fidelis
Vous souvenez-vous de cette affaire en Irak, où des femmes militaires américaines avaient maltraité des irakiens ? On en avait fait des gorges chaudes à l’époque…
Dans mon esprit, elles n’ont fait que “venger” leurs sœurs femmes tant maltraitées dans ces pays-là !
Alors si les pouvoirs publics, l’autorité, l’Etat, ne remettent pas rapidement ces hommes (à Paris) à leur place, je pense que les femmes auraient le droit de se défendre par la force…
Maurice
Si on attribue une responsabilité aux femmes d’être violées, il faut responsabiliser aussi les muz qui portent des vêtements les identifiants comme tel de provocateurs et « il serait normal » de les maltraiter !
Irishman
Ce qu’il y a d’ahurissant, c’est de voir à quel point nos “zélites” politico-merdiatiques sont paralysées devant ces populations machistes et arriérées, qui se comportent en plus de façon haineuse et violente !
Elles sont où, les bonnes âmes à gauche ou ailleurs, si pressées de défendre habituellement le “droit” des femmes ?
Pourquoi, au nom de quoi, laisse t-on les femmes vivre un enfer permanent à Paris, en banlieue, en France, en Europe ?
A qui profite ce scandale ?
clemsius
Le grand remplacement est en marche.
Au début on sert la main en se courbant en recherchant la compassion pour se faire accepter et à la fin dès qu’on le peut, sans grand risque, on la coupe!
Cela s’applique aussi à sa façon de penser et de vivre en société.
C’est imparable car celui qui a eu la main coupée avait pris sous son aile celui qui la lui a coupé et ne sait plus s’il a encore le droit de se défendre ou pas.
Cela s’appelle al-takia!
Exupéry
Et ça sera pire demain …jusqu’à l’asymptote parfaitement prévue Marie-Julie Jahenny (sous Napoléon III !)
Papon
On ne risque pas de voir ça dans les rues de Moscou…ou autre ville russe.
BETIS
Sans bien entendu parler de “responsabilité” des femmes, il semble néanmoins utile de rappeler qu’une tenue n’est pas anodine.
Le bon réflexe serait, bien sur non, pas de parler d’une quelconque agression, mais de proposer à ces jeunes filles de porter des tenues décentes. Le corps n’est pas un jeu et la provocation existe aussi, même sans s’en rendre compte.
Manifestement certaine “cathos” tradis l’oublient si j’en juge par les mamans quasi nues qui viennent dans cette tenue à la messe… Je ne comprends même pas que les célébrants ne disent rien. De mon temps, le bon vieux chanoine Porta à Notre Dame des Armées n’hésitait pas… Et il avait raison !
Alors avant de juger la paille de l’oeil du voisin, commençons par regarder la poutre qui est dans le nôtre, et soyons exemplaires avant de critiquer.