Les Roumains ont élu dimanche leurs députés européens. Le Parti de la Grande Roumanie, dont les députés faisaient parti il y a peu du groupe ITS au Parlement européen, groupe dissous suite à leur départ, n’a eu aucun élu. Pour Bruno Gollnisch, cette sanction populaire est méritée. Quant à Bernard Antony, il s’en réjouit :
"Je me réjouis de l’échec de « l’extrême-droite » roumaine aux premières élections européennes dans ce pays. Cette « extrême-droite » jusqu’ici figurant dans le groupe du Front National à Strasbourg n’était en réalité qu’un parti national-bolchévique créé par la clique de Caucescu dont l’horreur sans fin des persécutions et abominations a été décrite notamment par Mgr Virgil Gheorgiu. Le camarade Corneliu Vadim Tudor, chef de ce parti de nostalgiques rouges-bruns a démissionné du Parlement. La Roumanie ne s’en portera pas plus mal."