D’Yves Thréard dans Le Figaro :
"Avec l’Armée rouge et General Motors, l’Éducation nationale française a longtemps été dans le trio de tête des premiers employeurs de la planète. La disparition de l’Union soviétique a eu raison de la première ; l’évolution du marché automobile a beaucoup affaibli le constructeur américain. Preuve que le monde change. Pourtant, l’Éducation nationale, elle, demeure. Hors du temps. Ses effectifs ont continué d’enfler comme si de rien n’était. Or, la démographie scolaire dans notre pays est en baisse et nos comptes publics sont à sec.
Pour 1,3 million de personnes, dont 800 000 enseignants, le budget du ministère a augmenté de dix milliards d’euros depuis 1997."
Et ne parlons même pas des résultats scolaires. Un échec total.
Anonyme
je suggère que les élèves qui ne vont pas en cours, mais,ne pouvant retripler( voir post ci-dessus)passent en classe supérieure et ainsi de suite jusqu’au bac, deviennent ensuite enseignants grévistes