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Culture de mort : Idéologie du genre

Education sexuelle et gender également dans les écoles suisses

La pétition "contre la sexualisation de l'école publique" a recueilli 91816 signatures en un peu plus de trois mois. C'est un signe de mobilisation de la population. Ils s'élèvent notamment contre l'utilisation de pénis en bois et de vagins en peluche dans les cours d'éducation sexuelle aux enfants de 5 ans ! Lors des derniers jours de la récolte de signatures, La Poste a refusé de distribuer le matériel d'enseignement parce qu'elle estime que les illustrations ont un caractère pornographique.

Le Plan d'enseignement 21, qui doit entrer en vigueur en Suisse alémanique en 2014, contient une partie consacrée à l'éducation sexuelle obligatoire déjà au jardin d'enfants. Les Jeunes UDC lucernois jugent inacceptables que le pouvoir de décision en matière de formation soit entre les mains des "bureaucrates de la formation qui décident des besoins du peuple sans en référer à quiconque". Ils dénonçaient notamment que "l'enseignement obligatoire de l'éducation sexuelle soit fondé sur l'idéologie du "Gender Mainstreaming" qui aspire à surmonter l'hétérosexualité en tant que norme sociale".

"Cela signifie que nos enfants seront confrontés avec des pratiques homosexuelles et d'autres orientations sexuelles".

Selon les Jeunes UDC, l'idéologie qui se cache derrière ces cours tend à gommer les différences naturelles entre l'homme et la femme et à accorder à chaque individu le soin de choisir son sexe en fonction de ses préférences.

L'offensive des détraqués du genre ne connaît pas de frontières.

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9 commentaires

  1. Il y a des moments où lorsque la limite de la raison est atteinte, il ne reste plus que la parole aux armes…
    Dramatique mais je ne vois pas bien comment on va y échapper…

  2. Pour moi, l’égalité des sexes n’existent pas, l’égalité en droit homme et femme d’accord, mais delà à voir le sexe opposé comme identique, ce n’est plus voir la complémentarité féminine et masculine…
    D’ailleurs la Bible différencie bien les deux sexes:
    Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu : il les créa mâle et femelle.

  3. L’offensive des détraqués ne connaît pas de frontières, effectivement, mais il faut se demander COMMENT et POURQUOI ces détraqués, relevant de la psychiatrie ont obtenu les portes ouvertes des écoles.
    Au dessus des détraqués, il y a des gens qui les utilisent, comme ils utilisent tous les groupes marginaux et toutes les minorités, quelles que soient leurs natures, comme des projectiles contre la société naturelle et traditionnelle.

  4. Pour Monsieur Malleux :
    Et, à votre avis, qui sont ces “gens” qui “utilisent” les détraqués,les marginaux et autres minorités ?

  5. Entre l’homme et la femme il n’y a qu’une petite différence, mais vive la différence.
    Sacha Guitry

  6. Je suis d’accord avec P.K.

  7. @Malleus +Xavier Soleil
    – Les gens qui utilisent les détraqués sont les militants de la “déconstruction”.
    – La trace la plus ancienne que j’ai trouvée de cette notion de déconstruction idéologique, est chez Emma Goldman (1869-1940) féministe libertine et anarchiste, s’exprimant clairement lors d’une conférence à Détroit en 1898 : “Je ne crois pas en Dieu, parce que je crois en l’homme ; quelles que soient ses erreurs, l’homme depuis des milliers d’années a travaillé à défaire le travail saboté que votre dieu avait fait”.
    – La devise maçonnique est “Solve et Coagula”, ce que J.-Michel Quillardet, Grand-Maître du G.O., traduisait, en 2006, par “déconstruire pour mieux reconstruire”.
    Même le pernicieux a sa logique.

  8. Attendez, on n’a pas encore tout vu !
    Si une jeune fille tombe un jour amoureuse d’un garçon, qui lui dit alors cruellement “je n’aime que les garçons, tu n’as qu’à te faire opérer” et qu’elle le fait, aveuglée qu’elle est par cette passion et par l’environnement du gender !!!
    On est dans la manipulation criminelle, là !!!
    A quand, d’ailleurs, un/une trans qui porte plainte car on ne l’a pas prévenu(e) qu’il/elle devenait stérile ?

  9. Je vais vous conter une anecdote amusante sur l’histoire du gender : l’an dernier, je revenais de la piscine avec un ami et en descendant la rue Sainte-Marguerite pour aller au coeur du quartier Jouvenet, j’entendis des cris, des pleurs… On se précipite et là qu’est-ce qu’on voit, tout petit noir et blanc, un chaton. Je demande à mon ami de le dégager car il était coincé dans les broussailles. L’animal ne pouvait bouger et pleurait. On le dégage. Je le prends dans la main et je le caresse. Adorable et plein de vie. Il est désormais mon petit chat.
    Arrivés à la maison (après avoir fait quelques courses : c’est mon ami qui les as faites), je mets le chaton dans ma chambre et prépare une litière et tout ce qu’il faut pour le nourrir. Je lui donne un prénom (Kalinka)pensant avoir affaire à une chatte mais en fait, c’était un chat mâle.
    Quelques mois après, le chaton a grandit et mon ami a identifié le sexe de l’animal et s’est aperçu que c’était un garçon. Je pensais que c’était une fille. Tout compte fait, je l’ai gardé et il vit avec ma Tigrette (une chatte de 8 ans)et la chatte de mon ami (âgée de 15 ans qui s’appelle Comète). Résultat : une entente parfaite entre chats.
    Kalinka est magnifique, grand et superbe. Il joue avec Tigrette et Comète.
    Il y a eu confusion au tout début car je pensais avoir affaire à une femelle et c’était un mâle. Quand je l’ai fait stérilisé, j’ai dit la vérité au vétérinaire et tout s’est passé correctement. C’est donc un chat, un matou…
    Le gender c’est aussi la confusion des genres.
    Je ferais attention la prochaine fois… Cependant, j’aime les animaux… et Kalinka fait la joie de la maison… Il est heureux !

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