Lu sur Nouvelles de France :
"C’est après un cours d’éducation sexuelle qu’un garçon de 13 ans a violé sa camarade dans un collège de Gwynedd, au Pays de Galles (Royaume-Uni), parce qu’il voulait « essayer le sexe ». […]
En réalité, c’est tout le système d’éducation sexuelle au Royaume-Uni qui est un échec patent. Sans doute devrait-on parler d’ailleurs de sexualisation précoce ou d’incitation à la débauche et à la dépendance sexuelle plutôt que d’éducation sexuelle. Ainsi, en 2009, une brochure de la Sécurité sociale britannique, le NHS, expliquait aux parents, aux enseignants et aux personnes travaillant avec des jeunes qu’il fallait exposer aux élèves le plaisir du sexe plutôt que de mener campagne sur les rapports sexuels protégés (l’article du Telegraph ici). « Un orgasme par jour, en bonne santé toujours » pourrait-on traduire le slogan de la brochure (« An orgasm a day keeps the doctor away »). Une brochure qui prétendait que pour rester en bonne santé, les jeunes et les moins jeunes doivent manger 5 fruits et légumes et avoir 30 minutes d’activité par jour, mais aussi avoir un rapport sexuel ou se masturber 2 fois par semaine. Une organisation de défense de la famille, le Family Education Trust, dénonçait récemment un outil de support éducatif qui expliquait qu’il était normal d’avoir des relations sexuelles et de s’intéresser à la pornographie quand on a 13 ans (ici dans The Independant).
En 2012, on apprenait que certaines écoles au Royaume-Uni inséraient des implants contraceptifs à des filles de 13 ans à l’insu des parents. […]"