Nicolas Bauer, docteur en droit et chercheur associé à l’ECLJ, réagit à la décision du Conseil d’État du 27 juin, qui valide la mise en œuvre en septembre 2025 du programme EVARS (éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité) dans les établissements publics et privés sous-contrat, dès la petite section de maternelle.
Le Conseil d’État se fonde notamment sur un principe du code de l’éducation selon lequel « la Nation fixe comme mission première à l’école de faire partager aux élèves les valeurs de la République ». Au programme : veiller à ce que les garçons jouent à la poupée, demander aux enfants de dénoncer les parents qui donnent encore des fessées, promotion de l’homosexualisme et du transgenrisme…