Nicolas Bauer, docteur en droit et chercheur associé à l’ECLJ, réagit à la décision du Conseil d’État du 27 juin, qui valide la mise en œuvre en septembre 2025 du programme EVARS (éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité) dans les établissements publics et privés sous-contrat, dès la petite section de maternelle.
Le Conseil d’État se fonde notamment sur un principe du code de l’éducation selon lequel « la Nation fixe comme mission première à l’école de faire partager aux élèves les valeurs de la République ». Au programme : veiller à ce que les garçons jouent à la poupée, demander aux enfants de dénoncer les parents qui donnent encore des fessées, promotion de l’homosexualisme et du transgenrisme…
Gaudete
RAS LE BOL des ces pervers. borne en tête
Garde67
L’État de Droit que l’on érige en totem de la démocratie est vicié en son fondement. Censé limiter les excès de la loi, le Conseil d’État entérine les perversions les plus graves. C’est tout un système qui est aujourd’hui largement corrompu par les idéologies les plus folles.
La personne la plus faible et la plus vulnérable, ici l’enfant, ne trouve aucune protection ni refuge dans aucune des institutions de la république. Le “droit de” est un absolu. Il ne tient aucun compte de la réalité anthropologique de l’enfant, être humain en pleine croissance qui n’a pas atteint sa pleine maturité physique, psychologique et sexuelle, et de sa vérité fondamentale d’une personne sexuée par nature. Ni, à fortiori, de sa dimension spirituelle d’enfant de Dieu.
Il est urgent de revenir à la source de la loi naturelle, qui est est la seule voie sure et fiable pour éclairer notre humanité.
C.B.
Comment concilient-ils ce programme avec le respect des diverses cultures (qui semble fort bien s’accommoder d’un gros bémol sur l’enseignement de la shoah dans certaines classes)? Au Japon, il est du dernier vulgaire d’évoquer en quoi que ce soit les pratiques sexuelles…