Tribune d’Edwige Diaz, Membre du Bureau national du RN, Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine, Conseillère municipale & communautaire de St-Savin, déléguée départementale du RN en Gironde :
Le 2 octobre 2020, aux Mureaux, dans le cadre d’un discours relatif à la lutte contre les séparatismes, Emmanuel Macron a déclaré que
« Face à ces dérives [ islamistes ] qui excluent des milliers d’enfants de l’éducation à la citoyenneté (…) j’ai pris une décision : dès la rentrée 2021, (…) l’instruction à domicile [ sera ] strictement limitée aux impératifs de santé. »
Cette déclaration est incompréhensible tant sur la forme que sur le fond.
Sur la forme :
Au mépris d’un principe démocratique pourtant élémentaire (le vote parlementaire issu d’une concertation), le Président présente, une fois de plus, une décision unilatérale et arbitraire.
Pire ! Alors que la liberté d’enseignement est reconnue comme un principe constitutionnel, cette dérive autoritaire du Président de la République contrevient à l’article 26-3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 * et viole l’article L 131–2 du Code de l’Education**.
Sur le fond :
Faire l’amalgame entre les familles pratiquant l’Instruction en Famille (IEF) en toute légalité et les « ennemis de la République » est une insulte inacceptable.
En effet, les familles qui ont fait le choix de ce mode d’instruction alternatif sont identifiées, en contact avec les services municipaux, accompagnées par un conseiller pédagogique et contrôlées par l’inspection académique. En 2017, plus de neuf contrôles sur dix ont été jugés satisfaisants.
On est donc aux antipodes de la clandestinité qui dissimule les dérives séparatistes islamistes !
Il est par conséquent incompréhensible qu’Emmanuel Macron, soutenu par Jean-Luc Mélenchon, s’acharne contre l’IEF.
Cette interdiction injustifiée matérialise l’échec et l’aveuglement d’Emmanuel Macron qui refuse de faire le lien entre une immigration incontrôlée qui ne s’assimile pas à la République et les dérives séparatistes issues du communautarisme islamiste.
Si cette loi loi liberticide n’aura aucun effet sur le séparatisme, elle va punir les 800 enfants girondins et leur famille qui s’épanouissent en parfaite harmonie avec les valeurs de la République française.
C’est parce que nous sommes viscéralement attachés aux libertés fondamentales systématiquement menacées depuis l’élection d’Emmanuel Macron, que, nous, élus du Rassemblement National, avons manifesté ce samedi 14 novembre à Bordeaux, aux côtés des familles victimes de l’incompétence.
* « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants »
** « L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents »
Collapsus
Ne nous y trompons pas, le prochain stade sera l’interdiction des écoles hors-contrat. L’islamisation n’est qu’un prétexte pour mettre fin à une scolarisation qui a le mauvais goût de mettre au grand jour les carences et l’échec flagrant de l’enseignement public et ceci est intolérable pour les ayatollahs de l’Éducation nationale. Quand le thermomètre affiche de la fièvre, on le casse pour annoncer la fin de la maladie.
Meltoisan
En mai 2020, pour lutter contre l’Islamisation, Macron l’incohérent voulait faire enseigner l’Arabe à l’école dès le CM1.
Ce n’est même plus un manque de discernement, c’est du foutage de gueule envers les Français !
DUPORT
Le petit dictateur arrogant décide tout et n’importe quoi.
Biem
Exception de constitutionnalité contre cette interdiction.
Et basta, circulez, y’a rien à voir.
C.B.
Depuis quand une telle modification pourrait ne pas passer par une loi?
S’agit-il d’un projet de loi? d’une proposition de loi?
Une telle modification est-elle compatible avec nos principes constitutionnels?
Quand est-il prévu que les parlementaires examinent un texte à ce sujet?
Autrefois le roi disait “nous voulons”.
Aujourd’hui, un petit dictateur en herbe déciderait et aucune discussion ne serait possible?
F. JACQUEL
JUPITER va nous pondre une nouvelle ordonnance qui, comme toutes les précédentes depuis 2019, ne sont jamais ratifiées par le Parlement, contrairement à l’article 38 de la Constitution.
Et on peut craindre qu’une telle ordonnance interdise “en même temps” l’existence des établissements scolaires hors contrat, soit 1.571 établissements déclarés officiellement pour quelque 73.000 élèves.
Le seul problème : JUPITER veut liquider tout cet ensemble éducatif aux résultats généralement bien supérieurs à ceux de l’enseignement public, sous prétexte de supprimer l’enseignement coranique clandestin dispensé par des imams fondamentalistes.
Ceux-ci restant hors de tout contrôle au nom du vivrensemble, du padamalgame et des accords internationaux signés en catimini (genre traité de Marrakech).
Il réussira ainsi à frapper, une fois de plus, les Catholiques en s’appuyant sur une impunité de fait, accordée aux écoles coraniques.
philippe paternot
macron manie l’insulte envers les gaulois réfractaires, traitant les ouvrières de bretagne d’illettrées, ce avant d’être élu ! les ouvriers du nord d’alcooliques, les jeunes incapables de traverser la rue pour trouver un job (même pas un vrai travail), les populistes lépreux etc.
que tous ceux qui se sentent visés s’en souviennent an allant voter