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France : Société

Effets très indésirables du “vaccin” sur les femmes

Effets très indésirables du “vaccin” sur les femmes

Le Sénat a auditionné mercredi des membres d’un collectif de femmes qui dénonce les effets indésirables des vaccins anti-Covid sur les menstruations. Une Marseillaise témoigne des perturbations qui l’ont conduite à une hystérectomie.

J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines.

Les examens révèlent une adénomyose, une endométriose qui touche l’utérus. Aucun médicament ne la soulage, intolérante au traitement hormonal, Julie opte alors pour la chirurgie.

“L’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi, j’ai trouvé un chirurgien qui a accepté de me faire une hystérectomie et depuis j’ai retrouvé une vie normale”.

L’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin. Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, explique :

“L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant, maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus…”

“C’est vraiment très compliqué parce que la prévalence des troubles du cycle et les changements de quantité de saignement pendant les règles, c’est extrêmement fréquent, il ne se passe pas une journée sans qu’une patiente ne me parle de ça, et ça, bien avant le Covid’. “Par contre, c’est vrai qu’on a remarqué un signalement plus important de patientes qui présentaient des dérèglements et un saignement supplémentaire le mois de la vaccination, ce qui est difficile c’est de faire le lien de cause à effet”. “On ne sait pas, on ne peut pas dire qu’il n’y a pas de lien, mais on ne peut pas encore affirmer qu’il y en a un, il faut plus d’études pour comparer les femmes vaccinées et non vaccinées”.

Selon l’agence nationale de la sécurité du médicament (ANSM), 152 302 cas d’effets indésirables ont été rapportés par les centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) depuis le début de la vaccination, dont 4432 concernant les troubles menstruels.

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8 commentaires

  1. ah bon et pourtant les gigolos du gouvernement ne prétendaient-ils pas qu’il n’y avait pas de cause à effets. Mais au royaume des pervers les menteurs sont rois. Et puis quand on est sponsorisé par Pfizer qui a payé quand 8 milliards de dollars de pénalités à l’état américains, on ne va quand même pas coupé la branche sur laquelle on est assis, n’est-ce pas Véreux et cie?

  2. En fait il est étonnant qu’il n’y en ait pas plus !

    Par nature ces injections ne peuvent que provoquer ce genre de problèmes.
    La mixture de Pfizer, et de ses 3 complices, introduit dans le corps humain une information sous forme de code génétique. Cette information oblige le corps qui la reçoit à fabriquer des protéines Spike. Ces protéines sont une partie toxique du virus, probablement la plus agressive dans l’état actuel des connaissances. Plusieurs publications scientifiques de laboratoires de recherche indépendant ont conclues que cette protéine du coronavirus avait été artificiellement modifiée pour augmenter sa capacité à s’accrocher.
    Car c’est sa fonction s’accrocher aux cellules humaines et percer leur enveloppe.
    Donc une fois que le patient est injecté de la mixture Pfizer, son organisme produit ces protéines en quantité. Une fois produites, elles vont faire ce pourquoi elles sont faites. Elles vont s’accrocher et percer les cellules humaines à leur disposition.
    Donc en premier les cellules sanguines, et les cellules des vaisseaux sanguins. Puis les cellules des organes les plus irrigués : cœur, poumons, organes reproducteurs, cerveau.
    Il n’est donc pas surprenant, que ces organes étant agressés par une protéine toxique, il apparaisse des dommages :
    thrombose, péricardite, myocardite, embolies pulmonaires, troubles des organes reproductifs, et puisque cette molécule passe la barrière hémato-encéphalique, au contraire de la majorité des virus et bactéries, on voit apparaitre des AVC, des dépressions, et autres troubles neurologiques.
    Comme produire des milliards de doses, et les acheminer à très basse température pose de gros soucis logistiques, on peut se demander si une partie des doses n’était pas simplement faite de liquide physiologique, autrement dit principalement d’eau salée.
    Cela expliquerait qu’il n’y ait pas plus de soucis de santé après avoir massivement injecté une mixture qui ordonne à notre corps de fabriquer un poison.

    N.B.1 : On peut rapprocher le principe de fonctionnement de ces injections de celui des pervers. Un pervers va nous dire que nous ne sommes pas quelqu’un de bien, que personne ne nous aime, que tout va mal à cause de nous. Il nous donne une information toxique pour que nous nous fassions du mal, pour jouir de notre souffrance et du pouvoir qu’elle lui apporte.

    N.B.2: le pass sanitaire puis vaccinal n’ont aucun intérêt sanitaire mais un grand intérêt pour tracer, pister, ficher, et contrôler la population. c’est une application orwellienne qui marque l’appétit de pouvoir de ses inventeurs.

  3. Au passage je souligne qu’il n’est pas nécéssaire de faire intervenir des hypothèses du style nanoparticules, fulrène ou autres. La simple logique issue de la description publique de ces mixtures injectées sous le faux nom de vaccin suffit à expliquer les dégats provoqués et leur faible efficacité pour contrer l’épidémie.

    Rasoir d’Ockham.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d%27Ockham

  4. Sauf qu’il reste au moins 6 millions de non vaccinés en France donc largement de quoi avoir des groupes témoins pour cette complication et pour les autres éventuelles. Sans ça on brasse du vent.

  5. Effectivement le pass vaccinal était une obligation qui ne disait pas son nom c’est même Olivier Véran qui l’a dit : “Le pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale”. Ce n’est donc pas un scoop. Par ailleurs, l’Allemagne a discuté d’une obligation vaccinale pour les plus de 60 ans et ça n’est pas passé donc le groupe témoin reste intact ! Surtout en Allemagne où il est particulièrement important.

  6. Je pense qu’on ne parle pas des morts suite aux vaccins en effet depuis un certain temps dans notre région il y a de plus en plus de décès de personnes de 70 à 75 ans , il est vraisemblable qu’ils aient été vaccinnés, on n’est pas très nombreux à refuser leur mixture surtout à 70 et plus. Ce n’est pas étonnant qu’en Allemagne ils étudient comment obliger puisque l’ignoble Van der Layette a acheté tellement de doses à son copain le PDG de Pfizer qu’elle doit les écouler. Honte à tous ces dirigeants pourris jusqu’à la moëlle seule la révolte des peuple chassera les rats du navire

  7. Et ça ne fait que moins de 16 mois que l’injection de ces produits de thérapie génique expérimentale à commencé.
    Je prends le pari (gagnant, hélas) que, dans la décennie à venir, le bilan humain en termes de morts et de handicapés à vie dépassera tout ce qu’on a connu (thalidomide, sang contaminé, médiator… cumulés).
    Et les responsables ET coupables auront eu le temps de se mettre l’abri, avec des comptes bancaires bien garnis et inaccessibles.

  8. résultat 2021 de Pfizer= 8,6 milliards $

    merci Macron
    t’ auras ta com , aux Bahamas.

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