Ne vous laisser pas influencer par ceux qui vous diront que les prérogatives de la Région ou du Département se limitent à l’économie, aux transports ou aux lycées. Financement d’associations immigrationnistes, coût de l’accueil des “mineurs isolés” qui sont tout sauf mineurs : voilà deux exemples concrets qui peuvent donner un sens à votre vote en juin si vous êtes opposé à cette folie que constitue l’immigration-invasion :
Bien que la politique d’immigration soit une mission dévolue à l’État, les collectivités territoriales ont certaines attributions et une marge de manœuvre en la matière. Elles utilisent parfois cette dernière avec une certaine liberté, voire avec une liberté certaine. Les décisions qu’elles prennent peuvent contribuer à amplifier ou à restreindre les flux migratoires totalement délirants que nous connaissons.
Pour ne citer que trois exemples, certaines collectivités territoriales financent abondamment une O.N.G. qui amène par la mer méditerranée des milliers de clandestins en Europe. De même, plusieurs conseils départementaux sont résolument hostiles à toute restriction à l’accueil des jeunes clandestins qui se pressent aux guichets de l’Aide Sociale à l’Enfance. Cela se manifeste notamment par le refus de pratiquer des tests osseux pour évaluer l’âge des requérants et le refus d’utiliser un fichier national biométrique (…)
Nonobstant, plus d’une cinquantaine de collectivités locales et territoriales apportent depuis le début de l’année 2021 un soutien financier à SOS méditerranée, dans le cadre d’une « plateforme des collectivités solidaires » (7). Parmi celles-ci, on trouve de nombreux conseils départementaux et conseils régionaux avec des élus majoritairement à gauche.
À titre d’exemple, le conseil régional de Bretagne a voté cette année une subvention de 75 000 euros à SOS méditerranée, ce qui a été vertement dénoncé par un élu de l’opposition accusant l’O.N.G. d’être « complice des trafiquants d’êtres humains ». La région Occitanie se targue de verser des subventions à l’organisation depuis 2017. SOS méditerranée bénéficiera de la modique somme de 75 000 euros en 2021, excusez du peu. La région Centre Val de Loire est à peine moins généreuse : elle va verser 50 000 euros à l’O.N.G. cette année, tout comme le Conseil départemental du Finistère (…)
L’accueil et la prise en charge des jeunes étrangers que l’on appelle « mineurs non accompagnés » a pris depuis quelques années une ampleur considérable. Ils représentent un coût énorme et croissant pour la collectivité et, in fine, pour le contribuable. L’Association des Départements de France évalue le coût de la prise en charge par individu à 50 000 euros par an. Pour l’ensemble des départements, ces dépenses représenteraient 2 milliards d’euros (…) Pour ne citer qu’un exemple, en Gironde, le conseil départemental a annoncé l’année dernière ouvrir pas moins d’une trentaine de foyers pour les « jeunes migrants » (…) Deux départements, le Val de Marne et Seine Saint Denis ont fait un recours devant le Conseil d’Etat contre un décret qui prévoit de baisser la contribution de l’Etat aux départements refusant de recenser les mineurs isolés dans le fichier biométrique dédié (…)
Nous avions déjà évoqué ce sujet et notamment les subventions accordées à SOS Méditerranée, fer de lance de l’invasion-immigration, par de nombreuses collectivités locales.
Michel
C’est aussi s’opposer aux Bertrand, Pécresse, Muselier, Jacob et autres traîtres à la cause du peuple français…
aukepi
Il faut combattre ces démolisseurs de notre belle civilisation à TOUS les niveaux !
C’est ce que j’appelle la “politique intégrale”…
philippe paternot
si vous n’êtes pas partisan d’une révolution sanglante, alors utilisez un bulletin de vote! l’abstention favorisant les bobos, ne vous plaignez pas ensuite