Telle était le thème de l'émission diffusée hier sur France 2 et présentée par Sophie Davant (1h environ).
Angelina : Elle a avorté à 15 ans et elle le regrette.
Sous la pression de ses parents, Angelina a avorté à 15 ans. Aujourd’hui, elle le regrette. Elle aurait aimé qu’ils lui laissent une chance de s’expliquer.
Invitée – Julie : Ses parents ne lui ont pas laissé le temps de réfléchir.
Julie s’est fait avorter à 16 ans au bout de 15 semaines de grossesse. Ses parents ne lui ont pas laissé le temps de réfléchir. Aujourd’hui elle le vit mal. Elle a peur de ne plus pouvoir avoir d’enfants.
Invitée – Morgane : Ses beaux-parents lui ont fait du chantage.
Morgane vient tout juste de subir un avortement, c’était il y a 1 mois et demi. Elle a appris sa grossesse le jour de la Saint Valentin, elle voulait le garder mais ses beaux-parents lui ont fait du chantage, elle a donc finalement cédé.
Malheureusement, cette émission prône la contraception maximale et beaucoup de choses dites sont fausses, mais au moins, le traumatisme post-avortement n'est pas nié.
Sancenay
Si il est vrai que nos “élites” imposées sont des bêtes sauvages,ce dont on pourrait bien avoir de de moins en moins de raison de douter, quel principe les empêcheraient de soumettre leurs enfants à la barbarie que ce soit par incitation directe ou indirecte, par passe , “pass”, ou autre tour de passe-passe sémantique de la langue de bois?
Ghalloun
Courage! Même si les choses bougent lentement, elles bougent. Redoublons dans la prière.
Corso
La prière, d’accord mais la parole aussi.
Or de nos jours, la parole c’est la vidéo.
Elle a évolué, évoluons avec elle dans nos arguments.
Simon
Faisons lire ces témoignages aux pro-mort pour qu’ils voient que leur propagande n’est que mensonge.
Eloïse
Bonjour,
Evidemment, on ne peut pas nier le traumatisme post-avortement.
Mais il n’existe pas chez toutes les femmes.
[…]
(Précision : je ne suis pas croyante, je n’ai jamais été contre l’avortement, MAIS, je ne le prône pas ici. Je veux juste montrer que le traumatisme post-IVG n’est pas SYSTEMATIQUE.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’une femme qui avortait allait forcément mal tout le reste de sa vie. Aujourd’hui, je découvre que c’est faux.
Je me doute bien que mon commentaire ne sera pas publié, mais les témoignages présents sur le site que j’ai mis en lien sont -je trouve- très intéressants.)
[Perdu, votre commentaire est publié.
Le problème du traumatisme post-avortement c’est que, comme tout traumatisme, il peut ne ressortir que plusieurs années après. Après combien de temps peut-on considérer qu’il n’a pas eu lieu ? Et comment les femmes voulant avorter peuvent-elles deviner que ce traumatisme ne sera pas ressenti de suite ? La roulette russe ?
MJ]
henri
A Héloise:
Personnellement je crois que quand le traumatisme post avortement n’est pas détectable cela signifie qu’il est seulement profondément enfoui ,et que son influence gache tout autant la vie de la personne d’une façon ou d’une autre .Mais cela n’est pas facile à démontrer !
lève-toi
Des médecins qui avaient accepté de pratiquer à contre coeur, ce genre d’assassinat des innocents, se sont vus reprocher de nombreuses années après, de ne pas avoir refusé cet acte, par les mêmes femmes l’ayant exigé avec colère bien souvent.
Le remord venait parfois plus de quinze ans après.
On peut être incroyant, mais devant un acte aussi barbare, le simple sens commun répugne à cela, comme à toute action barbare. De toute façon cela n’empêche pas que Dieu existe, et que pour beaucoup de ces femmes le confessionnal sera le seul remède existant, sachant que l’âme des petits enfants est immortelle, et que leurs mères feront leur connaissance d’en l’au-delà.
ODE
@Henri sur le site libertepolitique, ils avaient publié des études scientifiques à ce sujet, je n’ai pas la référence pous vous malheureusement, mais ils montraient que sur un panel de femmes il y avait de nettes différences entre celles qui avaient subi un avortement et celles qui n’en avaient pas subi: moindre résistance aux maladies, plus grande facilité à entrer en dépression, plus de tabagisme ou de dépendances de toute sorte, etc. Le mot “traumatisme” laisse entendre que la personne est prostrée, qu’elle se torture l’esprit nuit et jour, alors qu’en effet il peut se manifester sous forme d’effets secondaires variés, mais qui pourrissent la vie.
béatrice vouters
Je n ‘ai pas vu l’émission,n’étant pas au courant de son passage,mais je peux témoigner en tant que responsable S.O.S Futures Mères que 95 pour 100 des femmes environ se plaignent de pressions à l’ avortement de la part de leurs parents.Ces pressions,d’ une violence variable certes,prennent le plus souvent la forme de chantage menaces d’exclusion du domicile familial,ou si elles ont déja un logement indépendant de suppressions de tous subsides financiers,dévalorisation totale de leur fille “tu ne seras jamais une bonne mère” J ‘ai appris avec interet qu’aux Etats Unis au contraire ,l’implication des parents dans le processus de décision d’ avortements de mineures faisait baisser ce taux.Puisse-il_en etre ainsi un jour en France
Fanch58
Pour avoir aidé un grand nombre de femmes confrontées au choix de l’ivg, je peux témoigner qu’elles sont très nombreuses, quel que soit leur âge, à avorter sous la pression psychologique et/ou le chantage de leur entourage (conjoint, parents, famille, amis, collègues, etc…), et très souvent aussi encouragées, sinon poussées, par leur médecin ou le Planning Familial (ces derniers ayant parfois trafiqué les dates pour permettre l’ivg, ou même proposé de payer le voyage à l’étranger quant le terme était dépassé !), et qu’elles auraient gardé leur enfants sans cela.
C’est un fait, et les lobbies pro-ivg et les féministes se gardent bien d’en parler !
Forcément, c’est un délit condamné par la loi française !
A quand la création d’un “Collectif des Femmes poussées à l’IVG contre leur gré” ?
Je suis absolument certaine qu’elle seraient des milliers à y adhérer !