Non, bien plus pour Ivan Rioufol :
[L]es faits sont têtus. Ce qu’ils donnent à voir est plus grave que le «mai 68 des cités», décrit par les crédules. C’est un terrorisme urbain qui est apparu. La désolation laissée par les razzias le prouve. Les écoles, bibliothèques et églises incendiées ou prises pour cible témoignent, plus précisément, d’un rejet de la France. Elle est devenue, pour de nombreux incendiaires, un pays haï. Les sourds ne veulent pas l’entendre.