Selon François Billot de Lochner :
"Macron a fait du mensonge son arme principale du débat. Comment ose-t-il affirmer qu’il n’a aucune responsabilité dans le bilan catastrophique de ce quinquennat, alors qu’il a été aux manettes pendant cinq ans ? Comment peut-il annoncer avec une assurance inébranlable qu’il fera, alors qu’il n’a rien fait ? Comment peut-il masquer à ce point la vérité sur ses relations étroites avec le monde islamique qui le soutient massivement ? Comment ose-t-il proclamer son respect pour les électeurs de Marine, qu’il méprise par tous les pores de sa peau ? Comment peut-il ignorer, ou feindre d’ignorer que la crise financière qui se prépare risque d’aboutir à l’éclatement de la zone euro ? Comment ose-t-il dire, lui, le serviteur zélé des plus grandes entreprises et du Medef, qu’il s’intéresse aux petites entreprises ? Pourquoi n’a-t-il pas prononcé une seule fois le mot « immigration », dont chacun sait qu’il est aujourd’hui le principal problème de la France ? Comment annoncer 60 milliards d’économies à la fin du quinquennat sans en donner le moindre contenu ? Comment oser affirmer que les forces de l’ordre pourront verbaliser sans problème les petits voyous, quand chacun sait que cela est strictement impossible aujourd’hui, notamment dans les zones de non-droit ?
Macron a beaucoup menti, mais avec une glaciale brillance, et ses mensonges à répétition sont probablement passés comme une lettre à la poste pour beaucoup de téléspectateurs."