Lu dans Le Petit Daudet, la revue de la Ligue du Sud :
"« Il faut voir dans [les] positions d’Emmanuel Macron un positionnement idéologique claire en faveur du sans-frontièrisme et d’une large ouverture de l’Europe et de la France à l’immigration ». Comme le soulignait en mars 2017 un haut fonctionnaire dans Le Figaro, le candidat d’En Marche s’est rapidement prononcé en faveur d’un Grand Remplacement que son quinquennat à l’Elysée risque de mener à terme. Une posture très proche de celle de l’Open Society Foundations, ce réseau fondé par le très influent Georges Soros, qui vise à vise à promouvoir le « développement de sociétés démocratiques et ouvertes ».
Le soutien latent dont bénéficie Emmanuel Macron de la part de ces réseaux, qui ont par le passé contribué à encourager l’immigration massive en Europe, apparaît comme une bonne nouvelle. « Georges Soros finance précisément ce que redoute la nouvelle génération de populistes d’extrême-droite », expliquait récemment Mike Harris dans les colonnes de The Independant. Après avoir financé la campagne d’Hilary Clinton, ce tenant du multiculturalisme apporte-il sa bienveillance au candi- dat « progressiste » français ?
Emmanuel Macron l’assure : sa campagne, dont le montant s’élève à plusieurs millions d’euros. Comme le souligne Minute dans son dernier numéro, avec un parti créé il y a seulement un an, il est douteux que les donateurs d’En Marche ! sur lesquels reposerait l’intégralité de son financement, se soient montrés si généreux….
Par ailleurs, la récente initiative lancée sur Internet, « Le deuxième bulletin », semble également indiquer que le candidat bénéficie d’appuis de cette nature. Cette plateforme en ligne, qui invite les internautes à « envoyer un deuxième bulletin » de vote en faveur du poulain de François Hollande a été lancée par l’Open France, déclinaison française de Open Society Foudations. Son objectif ? « Dire que le vote blanc n’est pas une option, tout en répondant à la frustration d’électeurs pour qui Emmanuel Macron est un opposant politique », a expliqué son fondateur Eliott Lepers.
En ne se prononçant pas sur l’orientation qu’il souhaite donner à la recherche sur les OGM, dont Soros, à la tête de Monsanto, est un bénéficiaire privilégié ; en se présentant comme un digne successeur d’Angela Merkel en matière d’accueil « des migrants », une « cause » particulièrement défendue par Soros et son Open Society – comme le soulignait l’ancien député Bernard Carayon ; Emmanuel Macron incarne l’idole du progressisme, que Georges Soros et ses lobbies aspirent à voir monter entrer à l’Elysée."