Mon intervention à l'@AssembleeNat pour demander la suppression de toutes les aides, directes ou indirectes, de l’État en faveur de la #presse écrite et en ligne.#liberteDeLaPresse pic.twitter.com/t3qlwuOT0t
— Emmanuelle Ménard (@emenard34) 15 novembre 2017
Les connivences entre la sphère étatique et le monde de la #presse participent au désamour des Français à l'égard de leurs #médias. pic.twitter.com/jbuOMLFsGy
— Emmanuelle Ménard (@emenard34) 15 novembre 2017
N'est-il pas aberrant de faire vivre sous perfusion une #presse que les lecteurs n'achètent plus, dont ils ne veulent plus ? pic.twitter.com/k5J2UZ6rB8
— Emmanuelle Ménard (@emenard34) 15 novembre 2017
rosetta
Le mal est fait. La presse officielle, les merdias, les journalopes sont totalement et définitivement discrédités. On ne veut plus de cette immonde propagande et de cette nauséabonde manipulation.
L’information, la vraie, il faut savoir la trouver ailleurs.
oxygène
Courageuse Madame Ménard qui dit tout haut ce que beaucoup de français ne supportent plus. Avec cette presse subventionnée par les deniers publics, nous finançons notre propre désinformation. Les instructions de Bismarck à l’ambassadeur de Paris en 1871 sont toujours d’actualité : “. Entretenez dans les feuilles radicales françaises à notre dévotion la peur de l’épouvantail clérical, en faisant propager les calomnies ou les préjugés qui font naître cette peur… Faites aussi parler, dans ces feuilles, des dangers de la réaction…, des crimes de l’absolutisme, des empiètements du clergé. Ces balivernes ne manquent jamais leur effet sur la masse ignorante. Oui! Mettez tous vos soins à entretenir cet échange de services mutuels entre les républicains et la Prusse! C’est la France qui paiera les frais! … »
g marie
Ben voyons…
Supprimons la presse-papier.
Ne subventionnons plus que les smartphones et tablettes des collégiens, la TV publique et privée, etc.
et surtout ne laissons survivre que les journaux publiés par des banquiers et milliardaires (LE MONDE, LIBé, LE FIGARO)