Mgr Gerhard Ludwig Müller, évêque de Ratisbonne en Allemagne, signe une lettre pour défendre l'Eglise. Brillante. Extrait :
"En nourrissant sans fin des clichés anticatholiques et en réveillant de vieux ressentiments,
on cherche à cacher la contradiction existante entre la réalité
médiatique virtuelle et la réalité telle quelle, qui est toujours
constituée d’un mélange d’ombres et de lumières. Ce
faisant, on court le danger que les personnes enclines à « croire » les
médias avant tout peuvent avoir l’impression que tout ne peut être faux
de ce qu’ « on lit dans les journaux ». Du coup, on n’arrive plus à
distinguer une liberté de la presse détournée de son but initial, d'une
licence à diffamer qui permet de façon apparemment légale de
priver de leur honneur et de leur dignité toutes les personnes et
congrégations se refusant à obéir à l’exigence de domination
totalitaire du néo-athéisme ou à la dictature du relativisme.Même le quotidien « Süddeutsche Zeitung » évoque dans le contexte de
ces campagnes médiatiques récurrentes à l’encontre du célibat et de la
morale sexuelle catholique le discours tristement célèbre du maître de
l’incitation à la haine, en 1937, à la « Deutschlandhalle » de Berlin.
Lors de ce discours, des milliers de prêtres et religieux catholiques
ont été systématiquement humiliés et traités de pervers sexuels devant
20 000 partisans nazi fanatisés. On cherchait ainsi à exposer le clergé
catholique à la vindicte publique. Le moyen pour y parvenir était la «
Sippenhaft » (littéralement : responsabilité du clan, ou de la
parenté). Ce n’était pas le vrai coupable ou le coupable accusé à tort,
Monsieur XY, qui était responsable de ses faits mais le clergé à part
entière auquel le coupable appartenait ou bien aussi l'Église en tant
que « système »."
Christophe
Il est tout de même curieux que les mêmes personnes qui se scandalisent des crimes pédophiles commis par des prêtres catholiques ne se soient jamais souciés des garçons violés en Afghanistan pendant la guerre civile. Les mollahs talibans se servaient dans leurs écoles coraniques et le seigneur de la guerre dans leurs harems! C’étaient une de leur faon de montrer sa supériorité par rapport à l’autre. Je n’invente rien, ce sont des amis afghans qui me l’ont révélé lors d’un séjour professionnel à Kaboul…
Tout le monde le savait là-bas mais nos bien pensants occidentaux ont préféré se taire.
Quel courage!
[Ce scandale est effectivement réel. Yves Daoudal en avait fait un papier dans l’un de ses derniers numéros. MJ]
Sancenay
Il faut balancer l’excellente lettre de l’Evêque de Ratsibonne à tous les tristes sires qui tentent de persécuter le Saint-Père et leur demander s’ils sont fiers de faire leurs les prores calomnies d’Hitler.
Tout ceci démontre en tout cas ce que sa Sainteté Jean-Paul II avait démasqué: une démocratie à la dérive peut tomber dans le pire des totatlitarisme.
N’hésitons pas à faire le saissisant parallèle qui est entrain de se retourner contre ceux qui l’ont jusqu’à présent honteusement utilisé pour favoriser leurs manipulations mortifères et leur course à l’accès exclusif au ratelier.
Je pense singulièrement à un sot valet du système qui pensait tout haut se faire élire président de région sur la base d’une telle imposture et qui est entrain de prendre la déculottée qui l’attendait nécessairement au coin du bois.