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France : Société

En attendant la rentrée à l’Assemblée, l’extrême-gauche met le bazar dans la rue

En attendant la rentrée à l’Assemblée, l’extrême-gauche met le bazar dans la rue

De nombreuses violences ont émaillé la soirée, animée par les nervis d’extrême-gauche que Darmanin a laissé prospérer.

 

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7 commentaires

  1. Que dire si ce n’est que le Général de Gaulle ne saurait maintenant comparer les français à aucun animal!
    Un veau, c’est bête mais pas maso ni pervers.

  2. Ça promet à l’Assemblée nationale !

  3. Comme la gauche est bien bonne de fêter sa victoire en pensant aux pauvres gens qui devront nettoyer tout ce qu’ils auront saccager !
    Quelle bonté, quelle fraternité, en fait nous n’avions rien compris, ils offrent des emplois comme cela !

  4. Elle est belle, (la place de) la Republique

  5. Et l’ahuri où est-il? cet incapable fort avec les gens honnêtes faible avec les voyous de gauche ce qui prouve une fois de plus que les LR pour la plupart s’accommodent fort bien de la chienlit que dénonçait le Général de Gaule et pourtant ils se prétendent gaulistes, quelle bande de pignoufs

  6. Je visionne les vidéos, je décortique les images: je ne compte que des enfants de bourgeois bien blancs, voire bien blonds, voire livides et délavés – ce qui prouve qu’ils passent plus de temps enfermés devant leur ordinateur qu’à lier des bottes de paille ou faire du cyclisme. Ce que d’autres ont dit plus haut est exact: c’est Mai 68. Ces gamins-là démolissent tout parce qu’ils sont protégés par leurs papas-mamans de Passy et Neuilly. Ils démolissent tout ce qui sert aux pauvres pour aller travailler sans trop souffrir (abris de bus, etc.) parce qu’ils sont pleins de fric et finalement très méprisants des conditions de vie des “inférieurs”. On les retrouvera millionnaires et banquiers dans 20 ans, comme les soixante-huitards moisis de la Mitterrandie de gauche caviar (toujours donneurs de leçons). Le plus drôle, néanmoins, c’est leur totale ignorance: savent-il seulement que le premier couplet du “No Pasaran” des Républicains espagnols était d’un racisme anti-arabe (‘Les Arabes de Franco ne passeront pas”, sic!) qui vaudrait aujourd’hui délation, 17e chambre, grosse amende et prison avec sursis?

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