Une tribune déprimante de Libération, par deux "consciences" de notre triste époque, Sylvie AYRAL Professeur agrégée, docteur en sciences de l’éducation et Yves RAIBAUD Géographe, membre du laboratoire Aménagement développement, environnement, santé (Adess), décryptée par Novopress info. On nage en plein gender :
"[…] le problème n’est pas de «sauver» les garçons, ni de lutter pour l’égalité entre les filles et les garçons, ni même de combattre une homophobie qui structure leur construction identitaire. Le problème est d’en finir avec la fabrique des garçons. D’explorer la manière dont familles, école et société projettent sur les «petits mâles» des rêves, des désirs ou des fantasmes qui influent sur leurs identités et leurs carrières."[…]
Et si on les laissait en paix, tout simplement ?
Esteban80
Cette “Docteur en Sciences de l’Education” a probablement gagné son “Doctorat” dans une enveloppe surprise à la Fête des Loges !
xenophon
Eric Zemmour va sûrement apprécier!
DUPORT
Clichés, mensonges et amalgames cela ne fait ni une tribune ni un article.
Que ces gens puissent avoir des diplômes en dit long sur la valeur de nos diplômes…
Que des journaleux leur donnent la parole est aussi très significatif.
paray
Les familles équilibrées ne “projettent” rien du tout . Je constate que ces gens là, qui accusent à tout bout de champ les partisans de LMPT de “généraliser” , ne s’en privent pas, eux…
Tol
http://medias.pole-elevage.com/fiches/pince-a-castrer–100263/1.jpg
oh lala
On met toujours la faute sur la féminisation de notre société, mais ne faut-il pas se poser la vraie question : que font les garçons?
Ne faut-il pas éduquer différemment les garçons?
Même dans les milieux traditionnels les garçons sont dorlotés par leur maman!
Nos garçons manquent surtout d’ être stimulés!
Unautreregard
“Et si on les laissait en paix, tout simplement” !
Lisa
Les commentaires des internautes sur la page de libé (internautes de gauche manifestement) sont très intéressants et bien plus lucides que les analyses de rédacteurs de l’article lui-même.
C.B.
1)”au collège, ils [les garçons] représentent 80% des élèves sanctionnés tous motifs confondus, 92% des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes, ou encore 86% des élèves des dispositifs Relais qui accueillent les jeunes entrés dans un processus de rejet de l’institution scolaire.” Sanctionnés par du personnel qui est probablement à 80% féminin. C’est peut-être cela qu’il faut changer…
2)Et si on donnait à ces “petits mâles” de vrais modèles masculins, qui leur font tellement défaut entre les “mamans solos” et le personnel quasi-exclusivement féminin des écoles?
3)”les valeurs de calme, de sagesse, de travail, d’obéissance, de discrétion, vertus traditionnellement associées à la féminité.”
Ah bon? Et si ces doctes docteurs allaient faire un tour dans un monastère: ils y verraient des hommes pas le moins du monde efféminés mais sachant cultiver sainement “les valeurs de calme, de sagesse, de travail, d’obéissance, de discrétion”.
ermort
J’ai lu ce livre il y a quelques mois.
Si la question de départ est intéressante: pourquoi les garçons sont-ils très majoritairement sanctionnés à l’école? la réponse de cette idéologue du gender est symptomatique du refus de voir le réel. Elle prétend être du terrain… mais ce qu’elle décrit est tellement à côté de ce que j’ai vu que j’ai du mal à la croire. Ou alors elle a des yeux différents.
L’auteur tente de promouvoir le gender à toutes les pages, ou presque. Son livre en devient rasoir et inutile.
L'anarcho
C’est la logique de l’évolution depuis le meurtre du père depuis les années 70… maintenant, on s’en prend à l’enfant mâle…