Damien Rieu réagit sur Boulevard Voltaire à la relaxe totale dont il vient de bénéficier en appel pour l’affaire du col de l’Échelle :
Vous avez été relaxé dans le procès en appel concernant votre action et celle de Génération Identitaire au col de l’échelle. Quelle est votre réaction à l’issue de ce délibéré ?
Je viens de l’apprendre par mon avocat et c’est un grand soulagement. C’est pour ma part, 8 ans de procédure judiciaire entre les poursuites concernant l’affaire de la mosquée de Poitiers et concernant la frontière. Cette page se tourne et c’est une grosse victoire. Cette affaire est vraiment ubuesque et politisée. J’avais bon espoir puisque le procès c’était bien passé et que le dossier était vide. C’est une surprise méritée.
Il n’y avait strictement rien à vous reprocher dans le cadre de cette opération. Vous avez symboliquement gardé les frontières entre la France et l’Italie. Recommenceriez-vous ?
Aujourd’hui, je travaille autrement et mon engagement politique est différent. Je suis passé à d’autres projets. La jeunesse doit prendre la suite. Effectivement, sur le fond, rien ne s’oppose à ce que cela se refasse. Cette opération était totalement pacifique. En France, nos citoyens ont le droit symboliquement de dénoncer que les frontières sont nécessaires.
Pour vous, il faudrait garder les frontières intactes malgré l’accord Schengen ?
Il faut absolument que l’État remette la main sur les frontières. Des milliers de migrants arrivent. Je rappelle que le dernier terroriste qui a tué trois personnes était un migrant tunisien qui passait par cette frontière des Alpes. Pour préserver la France et toute l’Europe, il faut effectivement que les frontières soient rétablies. […]
Silverado76
L’immigration, c’est voulu par Bruxelles,le “grand remplacement” est bien une réalité! prévu depuis des décennies par l’infâme sieur Kalergi! son plan tombé dans l’oubli à l’arrivée des Nazis au pouvoir a été remis sur la table à Bruxelles bien plus tard….et mis en pratique…..la suite,on la connait, l’invasion continue!
DUPORT
malgré l’accord Schengen ! (sic)
Il n’y a pas d’accord de Schengen, il y a la signature d’un traitre, coupable de haute trahison et toujours non jugé, du nom de François Mitterrand, qui a signé ce document en douce du peuple français qui ne l’a appris avec stupéfaction que deux ans plus tard. Ce document ne vaut rien.