Lors du référendum sur le TCE, les européistes promettaient la catastrophe en cas de victoire du non. Le TCE a été appliqué de force et l'on a vu ce qui s'est passé ensuite… Aujourd'hui en Irlande, les européistes jouent la même sérénade :
"Le ministre irlandais des Finances, Michael Noonan, a averti que si les Irlandais votaient non au référendum sur le traité du pacte budgétaire, les deux prochains budgets seraient grevés d’une plus lourde austérité, étant entendu qu’un vote "non" contrecarrerait la croissance, couperait l’accès au fonds de sauvetage de la zone euro, et inciterait les investisseurs étrangers à fuir le pays…"
Cela crève pourtant les yeux que l'euro, c'est la prospérité : le taux de chômage dans la zone euro a atteint un nouveau record en mars, à 10,9%.
Aux Pays-Bas, la droite eurosceptique ne se laisse pas faire :
"Après avoir fait tomber le gouvernement néerlandais en refusant de voter les coupes budgétaires imposées par Bruxelles, Geert Wilders avait déclaré qu’il ferait des législatives anticipées « un référendum sur l’Europe ». Il persiste et signe : sa campagne sera axée sur la sortie de l’UE. «Nous pouvons être membres de l’Espace économique européen comme la Norvège, ou de l’Association européenne de libre échange, comme la Suisse, afin de conserver les avantages économiques. Mais nous ne sommes pas membres de l’UE et de la zone euro, et nous avons à nouveau nos propres règles sur l’immigration et la monnaie nationale.»"
Marc L
A propos du TCE, c’est bon de rappeler que l’européiste Sarközy nous a roulé dans la farine avec son traité “simplifié” alors que celui-ci est qu’un TCE dont la forme change mais dont le fond est le même.
Papon
Les irlandais ont tout interêt à voter “oui” la premiere fois, sinon on les obligera à recommencer…