L’ancien ministre de l’Intérieur Charles Pasqua a été condamné à 18 mois d’emprisonnement avec sursis pour le financement illégal de sa campagne des européennes de 1999. Charles Pasqua avait bénéficié de 7,5 millions de francs (1,143 M€) pour sa campagne, issus de la vente du casino d’Annemasse (Haute-Savoie) dont il avait autorisé, en tant que ministre, l’exploitation en mars 1994.
Encore une affaire de corruption jugée
5 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Romain
C’était la liste PASQUA ET P. de VILLIERS ?
AML
Je finis par me demander si cette manière de financer une campagne électorale n’est pas meilleure que de “taxer” encore le contribuable ! Quand on voit les sommes pharaoniques qu’on nous “pompe” !et pour quels personnages !! Dans tous les cas on nous oblige à en être solidaire.
Anonyme
@Romain “C’était la liste PASQUA ET P. de VILLIERS ?”
Oui, mais Philippe de Villiers prudent avait exigé la séparation des comptes.
BAINVILLE
VILLIERS, prudent de s’allier avec un PASQUA ?
Plus faux que VILLIERS, déguisé en résistant de la nation française, mais allié de fait du système qui nous dissout inexorablement.
Tant qu’il y aura autant de naïfs, il aurait tort de se gêner.
Pascal G
@ ”anonyme sans nom”
Il ne peut y avoir de séparation des comptes sur une liste : le compte de campagne est celui de toute la liste.
PASQUA et VILLIERS avaient bourse commune, compte électoraux communs, et donc argent sale commun. De la même façon qu’en Vendée l’UMP et le MPF ont un président de Conseil général commun. C’est simple comme la nuit et le jour. Et comme la clarté s’oppose au flou.