Camino 999 en fait nommément une organisation d’assassins criminels. Le site de l’Opus Dei explique pourquoi l’oeuvre a décidé, cette fois, de se tourner vers la Justice :
Si le Da Vinci Code pouvait passer pour un « thriller ésotérique », Camino 999 relève d’un genre bien distinct, celui de la « fiction journalistique ». Un personnage fictif, présenté comme membre de l’Opus Dei, permet à l’auteur de distiller une série d’accusations graves à l’encontre d’une institution bien réelle, désignée par son nom ou à travers des personnages historiques, à commencer par le fondateur ou son premier successeur.
Voir aussi : Un Voyage au Liban; Patrice de Plunkett.
HV