En espagne, bravant une loi d'amnistie votée en 1977 au nom de la réconciliation nationale, le juge Baltasar Garzon s'est fondé sur le "contexte de crimes contre l'humanité" pour demander l'ouverture de fosses communes, et ainsi faire la lumière sur les "disparus" républicains durant la guerre civile.
Le parquet avait fait appel de cette décision, jugeant que les crimes politiques visés étaient couverts par l'amnistie et que la notion de crimes contre l'humanité n'était pas encore fixée par le droit international à l'époque des faits. La justice espagnole a décidé aujourd'hui de bloquer les ouvertures de fosses, le temps qu'elle se prononce sur le bien fondé juridique de son enquête.
Rappelons tout de même à ce juge les déboires de Monsieur Zapatero en matière d'ouvertures de fosses…
jp
Sous pretexte que son grand père, officier républicain a été fusillé, zapatero se prend pour le Grand Epurateur, personnage qui lui va d’ailleurs très bien, mais qui est interdit par la loi, juste et apaisante de 1977.
Il en fait une affaire personnelle. C’est insuprotable
Dialogue
Parfait! On va pouvoir parler de tous les crimes contre l’humanité des communistes en Espagne.
On va pouvoir ressortir tous les crimes de Santiago Carrillo (ancien chef du PCE après son retour d’exil en URSS, et chef des milices a Madrid pendant la guerre) et la “Pasionaria”…
Et croyez-moi, ce que ces salauds ont fait, ça mérite qu’on en parle!
tol
Ils ont intêret à bien contrôler les endroits qu’ils fouillent de peur de tomber sur les charniers dont sont responsables les républicains ou les musulmans.