Dénoncées dans La Croix (via e-deo) :
"Les enquêtes citées, en général américaines, sur lesquelles se fondent les revendications d’homoparentalité révèlent en fait bien des surprises : l’échantillonnage est extrêmement restreint, quelques dizaines de personnes, le plus souvent membres d’associations gays militantes ; dans la plupart des cas, seuls les parents sont interrogés et parlent au nom de leurs enfants ; quand des comparaisons sont faites, c’est le plus souvent avec des familles monoparentales, soit d’origine, soit issues d’un divorce ; les questionnaires sont standardisés, exclusivement comportementalistes et fonctionnalistes, sans mise en perspective de l’évolution de l’enfant jusqu’à l’âge adulte ; les notions clés de «père», «mère», «parent», «conception» et «engendrement» y sont délibérément laissées dans le flou. Tout se passe comme si les enfants vivant au sein de couples homosexuels étaient chargés de valider les comportements des adultes en "allant bien", alors que l’on y découvre que plus de 40% d’entre eux bénéficient d’un suivi psychologique".