Dans son discours de clôture lors de la rentrée du Rassemblement national Fréjus (à retrouver ici), Marine Le Pen a relayé la demande diffusée cet été sur les réseaux sociaux : on veut les noms des assassins.
« Si nous souhaitons apporter les bonnes réponses à l’aggravation de la délinquance et de la criminalité, nous devons d’abord regarder en face la réalité : celles-ci sont en partie une conséquence de l’immigration anarchique et incontrôlée. » « Les victimes de cette violence devenue atrocement ordinaire s’appellent Axelle, Philippe, Mélanie, Thomas, Marin, Augustin… Ils pourraient être de notre famille, nos frères ou sœurs, nos pères, ou mères, nos enfants… » « Le gouvernement doit aux Français la vérité sur la délinquance : la vérité sur les CHIFFRES, la vérité sur les FAITS, la vérité sur les NOMS des COUPABLES, parce que la vérité est la première des loyautés. » « Ce n’est pas pour rien que M. Dupond-Moretti peut entrer à la prison de Fresnes sous les acclamations, non pas des gardiens, mais des criminels. Dupond-Moretti c’est Taubira… en pire ! »
Dans le même temps, le ministre de la justice a été épinglé par un journaliste du Parisien, pour avoir diffusé une fausse nouvelle :
Euh non, elle a parlé de la “perpétuité réelle”. https://t.co/tr5p4ng14O
— Alex Sulzer (@Alexsulzer) September 6, 2020
Si elle avait évoqué la possibilité de réinstaurer la peine de mort, cela ne nous aurait pas déplu.