Eric Zemmour ne prédit pas un avenir radieux à la "mouvance nationale" dans l'immédiat alors que, selon lui, le contexte est favorable :
"Pourtant, en Italie, aux Pays-Bas, en Belgique, les partis de la mouvance « nationale » ont le vent en poupe ; les dernières statistiques de la délinquance sont inquiétantes ; l'effondrement financier est aussi une crise de la mondialisation ; le discours sarkoziste s'éloigne souvent de sa matrice de campagne « républicaine », quand Carla Bruni-Sarkozy soutient un programme de « discrimination positive », ou quand le vote des étrangers est vanté par le fils du Président."
Xtophe
Quand on voit la stratégie entreprise par Le Pen père et fille, ça n’a rien d’étonnant !
solange
Tant que le lepénisme scélorosera le mouvement national, celui-ci n’aura aucune chance de revenir à la surface même si la conjoncture est favorable.
C’est simple.
PK
Ce n’est pas une histoire de Lepénisme : c’est une histoire de méthode. En employant des méthodes de la Révolution pour arriver au pouvoir, les catholiques n’y arriveront jamais.
On ne joue pas avec le diable en pensant que l’on pourra le dédoubler quand on en aura envie. Il est malin. Et plus fort que nous.
Les catholiques doivent s’unir derrière… personne. Un chef, un parti, des professionnels de la politique : ce n’est qu’un vaste pot qui fermente les ambitions, les déceptions, les jalousies, les envies et dévoient les bonnes idées.
Arrêtez de rêver d’un parti national : il ne sera jamais. En tout cas catholique.
Si les catholiques veulent le pouvoir, ils ont déjà tout en main : une communauté et une doctrine sociale. Nul besoin de parti. Nul besoin de chef. Nous en avons déjà un et il est bien suffisant. Et sans égal :)
N’élisons que des gens qui seront mis en avant par notre communauté ou bien qui promettront de suivre notre doctrine sociale en cas d’absence du premier. Mais avant tout, unissons-nous localement. TOUS, clergé et laïc.
Le reste viendra tout seul. Par la grâce de Dieu. Et nos prières ferventes.
phil
…. et tant que les grands médias, les instituts de sondages …. continueront de traiter les mouvements en dehors de l’idéologie imposée de partis extrémistes et de mettre en avant uniquement le FN et la famille Le Pen comme alternative unique aux politiciens du système et à ses organismes de propagande qui sont les seuls à pouvoir s’exprimer.
Si on admet que les grands médias travaillent en fait pour des intérêts extérieurs et occultes et non pour l’intérêt du pays ou des gens, à ce moment là tout devient clair.
Pascal G.
@ Solange et Xtophe
Vous avez raison : car pour éviter de refaire les erreurs du passé, il est indispensable d’imaginer des solutions novatrices. Sinon, comme le FN devenu MNR ou le RPR devenu UMP, on ne verra pas bien la différence. Mais elle existe : ils l’ont dit, et y ont cru. Ce qui était un beau début.
o rei Sebastiao
Face à Sarkozy, il n’y a aucun chef de droite en vue
Le Pen a eu tort de privilégier sa fille
Villiers,qui représentait le NON de Droite, a ensuite changé de sujet pour faire sa campagne présidentielle, mal conseillé, il s’est effondré, et ne reviendra pas
Mégret a jetté l’éponge
Il ne reste que Sarkozy et Bayrou face au retour de Martine Aubry,laquelle va tenter de rassembler la gôche
BOGOMIR
Même si cela nous rebute, peut-être faudrait-il s’inspirer des méthodes de mouvances concurrentes et même adverses qui firent leurs preuves.
Comme par exemple la “coordination nationale” contre le CPE.
louis
Le commentaire ci-dessus de “PK” me semble inspiré.Pourquoi, en effet, soutenir un parti politique dit de droite, de toute façon républicain et donc issu de la révolution ? Ils sont des “lumières”, allons, nous, vers L A Lumière en apppliquant, en effet, intégralement et de façon éclairée la véritable Religion, non pas en suivant un clergé lui-même inféodé aux idées néfastes et sataniques du modernisme mais en travaillant avec ceux qui subsistent et résistent, avec l’aide de Dieu et l’intercession de la Sainte Vierge, il-y-en a, des choses à faire concrètement.Mais arrêtons de nous diviser et de répondre aux sourires du camp adverse, nous irions dans des impassses.
A bon entendeur…….
ph
Je pense que pour avoir une chance de renverser l’idéologie dominante mondialiste, il faut sortir de l’opposition virtuelle droite-gauche; elle ne correspond plus à rien.
En fait, sans être “socialiste”, je me sens beaucoup plus proche de certaines courants dits de “gauche” et dits “extrémistes”, si tenté que ça doit encore avoir un sens d’utiliser ces mots, que de l’UMP dite de “droite”. Il faut se méfier des idéologies et des conditionnements, mais c’est justement le rôle de la propagande de nous faire croire ce qu’ils veulent.