Lu sur Riposte catholique :
"Des militants et des responsables du mouvement espagnol Derecho a vivir ont déposé des petits cercueils en carton blanc, samedi, devant le siège du Partido Popular, pour exiger l’adoption rapide de la loi promise par le Premier ministre Mariano Rajoy pendant sa campagne électorale. Rajoy dispose de la majorité absolue au parlement espagnol, lui ont rappelé les dizaines de manifestants, souligne HazteOir.
Rappelant que la loi actuelle a créé un véritable « permis de tuer », Ignacio Arsuaga, figure emblématique de cette association qui ne sera satisfait qu’une fois obtenu « l’avortement zéro » (Aborto cero), a mis le chef du gouvernement espagnol devant ses responsabilités à l’heure où la presse s’interroge sur la détermination du PP. Le projet de repénalisation du crime contre l’enfant à naître ne figurait pas, en effet, dans le discours de politique générale prononcé il y a quelques jours par Mariano Rajoy. […]
L’événement était organisé pour marquer la Journée internationale de la femme, pour rappeler que ce qui est « vraiment progressiste, c’est de défendre le droit fondamental à la vie »."