Le groupe scolaire catholique Trinité et Tarcisius est implanté depuis 9 ans en Essonne, à Frileuse, dans le hameau de la ville de Briis-sous-Forges. Seul établissement catholique hors-contrat du département, il accueille 120 élèves, de la primaire au collège. Deux bâtiments différents forment ce groupe, séparés par 5 kilomètres. Cette école est gérée par l’association familiale d’éducation en Essonne (AFEE), composée de parents d’élèves.
David Vauthrin, président de l’association, indique que le groupe souhaite devenir propriétaire de ses propres locaux. Courant 2021, le groupe scolaire s’intéresse à la maison des fondateurs de l’école, sur le départ. La maison, mitoyenne aux locaux qu’ils louent pour l’école, est une trouvaille idéale. L’occasion de racheter les locaux dans lesquels ils sont depuis 2013 et d’acquérir la maison mitoyenne pour y héberger le collège. Le 30 décembre 2021, un compromis de vente est signé. Début 2022, il engage des procédures administratives en matière d’urbanisme.
Le maire PCF Emmanuel Dassa se montre défavorable au projet en justifiant d’un nombre trop important d’élèves au vu de la petite taille de la station d’épuration de la ville. Un reproche d’autant plus étrange que la mairie avait auparavant donné son accord à l’installation de ce même nombre d’élèves, et que l’établissement bénéficie d’une autorisation ERP (établissement recevant du public), qui permet d’engager des travaux de rénovation.
En parallèle, le maire du village se met à avoir d’autres ambitions pour ces deux biens. Il est notamment évoqué un projet de logements sociaux. Le dimensionnement de la station d’épuration ne semble ici poser aucun problème.
Malgré le compromis de vente, le Maire décide de faire voter, le 28 mars, le droit de préemption des biens en conseil municipal. L’école, dont le bâtiment est compris dans le droit de préemption, devrait impérativement déménager, en l’espace de quelques semaines.
Vladu
Pas le temps de faire une recherche détaillée sur ce tyran Emmanuel Dassa, mais à quoi bon ?
Ce programme de haine anti-catholique, de persécution contre les écoles libres et de totalitarisme scolaire était tout simplement celui du candidat PC à l’élection présidentielle !
Relisez sa déclaration de foi (on peut encore facilement la trouver sur internet: il suffit de taper “profession de foi”) !
Avec le cynisme caractéristique des grands criminels, Fabien Roussel avouait très clairement ses intentions meurtrières envers les écoles catholiques. C’était écrit en toutes lettres : “Interdiction des écoles privées hors contrat”.
JURIDIQUEMENT, voilà un aveu très important.
Le tyran Emmanuel Dassa est membre du même parti. Il partage évidemment les mêmes idées. Or son intention meurtrière est très clairement affiché, noir sur blanc ! Il veut la MORT des écoles catholiques ! Non seulement il l’avoue, mais il s’en vante !
Voilà la preuve – ou, du moins, une très forte PRÉSOMPTION – qu’Emmanuel Dassa MENT quand il parle de “station d’épuration”.
Le problème n’est pas la station d’épuration. Le problème est la haine des communistes contre les écoles catholiques !
De même, il est clair qu’Emmanuel Dassa MENT quand il invoque une nécessité de préemption pour la commune (d’ailleurs, est-ce que des logements sociaux ne risqueraient pas d’encombrer eux aussi la station d’épuration ? Visiblement, aveuglé par sa haine, Emmanuel Dassa raconte n’importe quoi).
Donc il ne faut pas hésiter : le MENTEUR pathologique Emmanuel Dassa doit être poursuivi en justice. Devant le tribunal administratif, il faut bien monter la “profession de foi” du candidat Roussel (soutenu par Cassa) : elle manifeste clairement l’INTENTION DE NUIRE.
Et à partir du moment où cette INTENTION DE NUIRE est indubitable, la charge de la preuve est inversée. C’est désormais à Emmanuel Dassa de prouver qu’il n’agit pas dans cette intention.
En bonne justice, le maire devait aussi être poursuivi pour abus d’autorité. Une plainte en ce sens devrait être déposée (toujours appuyée sur la “profession de foi” de Roussel, qui montre l’intention de nuire).
Et dans la mesure où la liberté scolaire est une liberté constitutionnelle, on pourrait peut-être envisager de poursuivre son groupement politique comme association de malfaiteurs (évidemment, ils n’ont pour l’instant tué personne ; les circonstances ne leur permettent pas de massacrer les catholiques, comme les communistes ont toujours aimé le faire ; mais ils s’emploient à priver leur victime d’une liberté constitutionnelle ; d’un point de vue juridique, cela paraît tout de même assez grave : là encore, il faudrait déposer plainte).
AFumey
Heu… De quoi pourrait-on s’attendre de la part d’un communiste, viscéralement opposé à Dieu?
Chouan85
Dans station d’épuration, il y a épuration, un des mots préférés des cocos! Ce sont des experts dans le genre.
VAUCENAY
Mais s’il s’agissait d’une école coranique, il y a fort à parier que le Maire n’aurait rien fait car “ces gens-là” (comme le dit une certaine ministre !) savent mieux se défendre que les Cathos.