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Pays : Allemagne

Et maintenant, le ‘couple’ à 4

2 hommes se sont pacsés en France en 19 juillet 2001, puis ont
conclu une union civile en Allemagne la même année. L'un explique :

«
Dès le début, je lui avais avoué que je voulais absolument être père ».

Grâce à un réseau de parents gays et
lesbiennes,
ils ont rencontré Suzanne Linnenberg, 42 ans, et Constanze, 41 ans. Suzanne indique :

« Nous, au départ, on
cherchait juste un géniteur, on ne pensait pas partager l’enfant »

Frédéric a signé une
reconnaissance de paternité à la mairie durant la grossesse de Suzanne
pour que l’enfant porte son nom de famille et pour obtenir un livret de
famille de père célibataire. Puis il a fait la même démarche de paternité, six ans plus tard, pour la
naissance de Félix.

Ou quand le droit à l'enfant passe avant les droits de l'enfant.

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13 commentaires

  1. C’est ce que les associations LGBT appellent pudiquement “un projet en coparentalité”. Il est évidemment illusoire de penser que 4 personnes pourront s’entendre longtemps pour élever un enfant et surtout, la durée de vie moyenne d’un couple homo étant inférieure à celle d’un couple hétéro, il est fort probable que ces enfants se retrouvent avec 4 parents dans 4 foyers différents. 1 semaine par mois avec maman 1, 1 semaine avec maman 2, le week-end avec papa 1, la moitié des vacances avec papa 2 (et leurs éventuels nouveaux conjoints) !

  2. On a encore le droit de dire qu’ils sont givrés ou pas ;-))

  3. Effectivement, il s’agit de la “coparentalité” qui fait partie des modèles de famille “homoparentale” dans le projet LGBT, au même titre que la PMA et la GPA, un modèle soutenu, comme le montre cet article, par les associations militantes, dont il n’a curieusement pas été question pendant tout le débat autour de la loi Taubira, bien qu’il soit déjà mis en oeuvre et qu’il pose d’évidentes questions pour l’avenir des enfants.

  4. Il y a encore plus de détails importants encore dans l’article complet.
    J’avais envisagé de faire venir une mère porteuse d’Asie, mais c’était contraire à mon éthique » ….éthique limitée quand meme
    C’est important qu’un enfant connaisse son père biologique. » quand même, ils savent que c’est important et injuste pour l’enfant, mais on le fait quand même.
    et s’est battu « âprement » pour avoir le droit de garde partagée : conflit dès le début, c’est bien pour l’enfant.
    « Les enfants sont à 80 % avec les filles et à 20 % avec nous. » enfants qu’on se prête comme un jouet.
    « On se dispute parfois pour les gardes, Il n’y a pas de haine entre nous, comme c’est souvent le cas chez les divorcés, quand les femmes se vengent en privant leur ex-mari de la visite des enfants … » il y a aussi des divorces qui se passent bien, dans tous les cas c’est dramatique pour les enfants, la différence c’est qu’ils l’ont fait exprès
    Le clou de cette pitoyable union
    « Les enfants sont tristes quand ils doivent quitter les mamans, et aussi chaque fois qu’ils doivent quitter les papas. » « Chaque séparation est une déchirure, pour nous aussi » non mais allo quoi, vous vous attendiez à quoi, ils ont pas honte de les faire souffrir volontairement.

  5. Ça fait penser aux propriétaires de chevaux, quand ils sont 4 sur un même cheval on dit qu’ils ont chacun une patte.

  6. Pauvre enfant au milieu de ces dépravés !

  7. Pacsés en France, puis en “union civile” en Allemagne : les 2 contrats en même temps ? C’est incompatible sur le plan légal, même avec variable de droit international privé….

  8. Bienvenue en Absurdie orwellienne.

  9. C’est tout simplement monstrueux pour le gamin. Bonjour les problèmes psychologiques plus tard…

  10. Salomon y perdrait son hebreu, lui qui voulait “partager” un enfant entre deux mères…

  11. Pauvre enfant !

  12. Le gamin quand il sera en âge de comprendre demandera des comptes et l’addition risque d’être salée !

  13. Contrairement au contenu complaisant de l’article, ces enfants n’ont au yeux de la loi que la filiation correspondant a la realite : son pere et sa mere qui se sont arranges (on ne nous dit pas comment) , ce qui est triste certes mais releve de leur liberte. Les conjoints des parents n’ont ici aucun statut legal.
    Cet article demontre justement que les homosexuels ont les enfants qu’ils desirent dans le cadre actuel, lequel a les avantages de ne pas masquer cette filiation et de ne pas les priver de pere ni de mere.
    je suis plus intriguee et effaree par ce bapteme par “un cure homosexuel ” !

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