Même si ce projet ne servira concrètement à rien (dans un premier temps), il coûtera aux contribuables et sera une étape de plus vers un fédéralisme européiste anti-national :
L’idée d’une “assemblée parlementaire franco-allemande” fait son chemin. Le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand et son homologue allemand Wolfgang Schaüble vont présenter mercredi à Paris un projet d’accord. Une délégation du Bundestag, conduite par Wolfgang Schaüble, sera reçue en fin de matinée au Palais Bourbon (…)
L’Assemblée commune sera composée “de cinquante membres de l’Assemblée” française et autant du Bundestag, lesquels seront désignés “au début de leur législature respective”, d’après le projet d’accord. Elle siégera “au moins deux fois par an publiquement” sous la présidence de Richard Ferrand et Wolfgang Schaüble et les séances auront lieu “en principe alternativement” en France et outre-Rhin.
On notera que les députés seront désignés : peu de chance que des souverainistes ou nationaux (RN, AfD) en fassent partie donc…
Gaudete
et une pompe à fric supplémentaire