On apprend qu’à la demande de Nicolas Sarkozy et après un an de concertation avec les inspecteurs, les propriétaires d'auto-école, les associations de jeunes ou de victimes de la route, le ministère des Transports devrait tracer les grandes lignes du nouveau permis de conduire. Parmi les innovations, l’épreuve du code de conduite pourrait désormais se passer sur ordinateur avec des questionnaires individualisés et même dans une autre langue que le français. Il faudrait savoir si des panneaux de signalisation multilingues seront mis en place pour l’examen de la conduite notamment pour les stop et pour la signalisation des hôpitaux…
Pour le moment, seule Marine Le Pen semble choquée par cette mesure :
"Cette proposition scandaleuse et ahurissante, bafoue l'article 2 de la Constitution stipulant que le français est la langue de la République. Cette manœuvre (…) trahit une fois encore la volonté obsessionnelle de Nicolas Sarkozy d'accélérer le processus de discrimination positive et de communautarisation de la société française. "
HB
Marine, sur ce coup là, a raison!
Mais qui peut penser que N. respecte la constitution française?
La connait-il seulement?
Il a tout du soudard qui viole plutôt que du gentleman qui respecte!
Moi ce qui me choque c’est qu’on soit encore obligé de passer une épreuve écrite, c’est une discrimination envers tous les voleurs de mobylette!
BOGOMIR
En France les panneaux de halte sont déjà en anglais depuis fort longtemps (“stop”). Au Maroc ils sont en arabe.
Pour ce qui est des auto-écoles, je pense qu’il faudrait déjà apprendre le Français avant d’apprendre à conduire. Mais je sais que certaines multinationales proposent des interprètes pour leurs employés américains souhaitant passer le permis de conduire français.
(Stop est certes d’origine anglaise comme d’autres mots mais il est depuis longtemps un nom masculin dans nos dictionnaires…
Philippe Carhon)
M. Grégoire Poulle
Bonsoir,
Le fait de pouvoir passer le permis de conduire en France dans une autre langue que le français ne me choque pas particulièrement, encore faudrait-il savoir dans quelles langue ? Qu’on puisse pouvoir le passer dans une langue de l’union européenne (Allemand, Anglais, Espagnol…) ou une langue régionale (Basque, Breton, Catalan, Alsacien…), pourquoi pas, après tout, les personnes ces communautés linguistiques et culturelles vivent sur le territoire nationale depuis suffisament longtemps pour avoir le privilège d’entendre dans leur idiome qu’elles sont recalées au permis pour avoir refusé une priorité à droite. Par contre, pour des langues que l’on n’entend parler en France que depuis à peine 30 ans, on peut avoir quelques réserves, mais bon, y a plus grave comme problème. (mariage homo, avortement, laïcisation à outrange, éducation en dérive, drogue, pornographie, monopole du darwinisme dans les écoles, esclavage dominical, j’en passe et des meilleurs)
Un breton catho et fier de l’être !
N’on ket feuket o selaou e vo tu da dremen an aotre-bleniañ e yezhoù arall hag ar galleg amañ, e Bro-C’hall. Perak ne vefe ket tu d’hen ober gant ar saozneg, ar c’hastilhaneg, pe en un trefoedach-bennak ?
Evel-just e c’heller bezañ nec’het evit ar yezhoù n’int “hengounel”, pe “mod-gozh” en hor bro, met traoù gwashoc’h a zo, neketa ? (dimeziñ an heñvelreizhidi, difoc’hañ-bugale, laikelez diroll, enkadenn an aotrouniezh, dramm, pornografiezh, kelenn Darwin er skolioù, labour er sul, hag all…)