Analyse de Bernard Antony sur le mode de scrutin appliqué en Nouvelle-Calédonie pour le référendum :
“Quand les résultats des consultations électorales ne vont pas dans le sens voulu, alors il faut revoter ! Et autant de fois que nécessaire ! Cela est vrai dans l’Union Européenne où l’on resserre la schlague eurocratique inlassablement sur les peuples qui veulent s’en émanciper.
Cela est vrai pour la Nouvelle-Calédonie où il a été très cyniquement disposé par le « législateur » de prévoir un autre référendum et, s’il le faut, un autre encore, jusqu’à ce que le résultat soit acquis en faveur de l’indépendance que souhaitent l’ONU (de quoi se mêle-t-elle ?) et les groupes de pression économique, américain, australien, chinois.
Le gag encore du mode de scrutin appliqué pour ce territoire de souveraineté française, c’est qu’il était stipulé que les Français y résidant depuis moins de 24 ans ne pouvaient voter ! On peut aisément imaginer le hourvari que cela déclencherait si pareille mesure discriminatoire pour les immigrés naturalisés depuis moins de 24 ans était imposée pour toutes nos élections.
Tous nos médias déborderaient d’indignation face à pareil racisme (…)”
F. JACQUEL
Ce qui est fait à Nouméa pour faciliter un succès des indépendantistes va dans le sens de l’Histoire. L’équivalent en Métropole serait de naturaliser les immigrés avant qu’ils aient envie de quitter leur pays, et de leur donner leur carte d’électeur à leur arrivée en France, en y joignant le “bon choix” à effectuer en gratitude du Gouvernement qui les accueille.
Ne serait-ce pas LE bon plan ?…
philippe paternot
effectivement!
et la gauche voulait donner le droit de vote aux étrangers… macron va t-il oser le faire?