Après Toulouse et combien d’autres villes, c’est Limay qui comptera une nouvelle parcelle de terre musulmane. Mais, contrairement à ces collègues de Grenoble ou de Marseille, le maire communiste de Limay n’a pas vendu son terrain à l’euro symbolique, mais à un prix presque normal. De plus, il n’a pas accepté non plus le projet pharamineux prévu sur 2800 m², mais il a cédé pour une réalisation plus convenable sur plus de 1400 m².
Bref, le maire est resté dans la mesure de la loi et du rationnel. Et les mosquées continuent de sortir de notre terre de France, née du sang des premiers martyrs, reçue en héritage de nos ancêtres, d’une terre aux racines chrétiennes…