La Conservative Political Action Conference (CPAC), la grande conférence annuelle du Parti républicain, s’est tenue en Floride à Orlando ce week-end et s’est terminée avec une intervention de Donald Trump. Donald Trump a parlé pendant près d’une heure et demie (voir la vidéo ici) et il a montré qu’il dominait toujours le parti Républicain.
Concernant sa candidature pour 2024, Donald Trump a eu cette formule :
“Qui sait si je ne me représenterais pas pour les battre une troisième fois ?”
Une troisième fois ? Parce qu’il estime qu’il a bien gagné la dernière élection.
« Nous sommes engagés dans une lutte pour la survie de l’Amérique comme nous la connaissons ». « C’est une lutte. C’est une lutte terrible, terrible, douloureuse ». « Mais à la fin nous gagnons toujours ». « Le parcours incroyable que nous avons entamé ensemble (…) est loin d’être fini ».
« Avec votre aide, nous reprendrons la Chambre des représentants, nous reprendrons le Sénat, et ensuite un président républicain fera un retour triomphant à la Maison-Blanche — Je me demande bien qui ce sera ».
L’ancien président a affirmé qu’il n’a pas l’intention de diviser le parti :
« Nous n’allons pas créer de nouveaux partis, nous n’allons pas diviser notre pouvoir. Nous serons unis et puissants comme jamais ».
Donald Trump a dénoncé la politique d’immigration de Joe Biden, affirmant que le président démocrate vient d’achever « le premier mois le plus désastreux » de l’histoire de la présidence américaine. Il a critiqué une administration « extrémiste, corrompue et incompétente » à un niveau « jamais atteint dans l’histoire des États-Unis ».
« Notre sécurité, notre prospérité et notre identité même d’Américains sont en jeu ».
«nous sommes passés de l’Amérique d’abord à l’Amérique en dernier». «On savait que son administration serait mauvaise, mais pas à ce point». «Ils sont antifamille, antiemplois, antiénergie et antifrontières.»
Questionnés sur l’avenir du parti républicain, 95% d’entre eux se sont prononcés pour qu’il poursuive son programme populiste : barrières douanières, politique migratoire restrictive, défense des valeurs républicaines traditionnelles, l’accès sans entrave aux armes à feu ou la lutte contre l’avortement… Trump ou pas Trump en 2024, ce dernier a ancré le parti républicain à droite et le prochain candidat républicain devra en tenir compte.
« Nous ne pouvons pas, nous ne voulons pas, revenir à l’époque de l’échec de l’ancienne direction du Parti républicain » , a déclaré le gouverneur de Floride Ron DeSantis, qui a présenté un nouveau programme très inspiré des idées de Trump. « Nous ne gagnerons pas l’avenir en essayant de revenir en arrière, là où se trouvait auparavant le Parti républicain » , a aussi dit le sénateur de Floride Rick Scott, qui préside le comité chargé de collecter les fonds pour soutenir les candidats républicains au Sénat.
« Si nous le faisons, nous perdrons les acquis du président Trump, nous allons perdre les élections dans tout le pays et, en fin de compte, nous allons perdre notre nation. »
DUPORT
Et on va laisser l’usurpateur sénile détruire les USA pendant 4 ans ?
F. JACQUEL
En 1 mois, Sleepy Joe a signé un nombre incroyable de décrets présidentiels pour détruire l’œuvre de son prédécesseur, en commençant par des mesures en faveur des étrangers. Il a, par ailleurs, relancé des engagements militaires sur le Moyen-Orient là où le Président Trump s’efforçait de désengager les USA.
Les Américains n’ont pas fini de se mordre les doigts…
Collapsus
À chacun son Hollande. Nous avons largement donné, il serait maintenant temps que la roue tourne.
Faliocha
Il est gaga. Il va se prendre le boomerang de la destitution dans la tête, il n’arrive même pas à finir une phrase tant il est sénile !
zongadar
Allez, la partie n’est pas totalement terminée, encore quelques jours avant d’être sûr de l’avenir immédiat de Trump. Il a juste montrer que ce n’est plus lui qui tient la résolution du vol des élections, d’autres ? …(n’oubliez pas Sun Tzu, cf. Trumpologie d’Alexis sur Odysee-Radio Québec).
Et pour l’usurpateur sénile, il n’est qu’une marionnette de la gauche (si toutefois, c’est vraiment lui et pas un acteur sosie).