Il faudrait que vous soyez suisses pour avoir démocratiquement le droit de vous exprimer sur cette question et surtout pour que votre avis soit réellement pris en compte :
"Si l'initiative UDC «Pour le renvoi effectif des étrangers criminels» est acceptée le 28 février, nettement plus d'étrangers seront renvoyés que si le texte du Parlement appliquant la première initiative sur le renvoi entre en vigueur (…)
Cette différence s'explique d'abord par le fait que la liste des délits mentionnés dans l'initiative de mise en oeuvre est plus étendue. Un cambriolage, par exemple, serait synonyme de renvoi car il implique le vol, le dommage à la propriété et la violation de propriété privée.
De plus, les récidivistes dont la dernière condamnation ne remonte pas à plus de dix ans seraient aussi reconduits à la frontière, ce que ne prévoit pas la variante parlementaire, dont l'entrée en vigueur a été repoussée par le Conseil fédéral en octobre (…)
Les citoyens se prononceront le 28 février sur un renforcement du droit pénal en matière de renvoi, et devront choisir quelle variante, de l'initiative UDC pour un renvoi «effectif» des étrangers criminels, ou de la solution du Parlement, doit être appliquée."
Et la démocratie directe en France, c'est pour quand ?
SOL INVICTIS
a 200 % pour l’expulsion effective des étrangers criminels …..DES QU ILS AURONT PURGE LEURS CONDAMNATIONS EN FRANCE
Godefroid de Couillons
On peut pondre tous les textes qu’on veut mais si on ne les applique pas…
creoff
L’Australie le fait déjà, et cela ne heurtait personne.
Que ceux qui viennent dans notre pays le respectent ou retournent chez eux. Notre pays n’est ni une poubelle, ni une passoire, ni la terre d’asile de tous les délinquants du monde. Les mettre en prison nous coûte cher en procédures et hébergement, les laisser dehors (comme nous le faisons) nous coûte en cambriolages, agressions, vies humaines, viols!
Je ne vois pas pourquoi on se pose cette question.
Jean Theis
Creoff: je regrette de vous détromper – Notre pays est devenu une poubelle, une passoire, etc.
Le peuple ne le voulait pas mais il n’a pas réagi non plus quand nos gouvernants l’ont imposé.