Selon une étude parue lundi 02 août dans la revue BMJ Global Health, l’avortement sélectif serait responsable d’un déficit estimé à 4,7 millions de femmes lors de la période 2021-2030. Cette pénurie de filles devrait conduire à un surplus de garçons dans près d’un tiers de la population mondiale.
Les auteurs de l’étude craignent des comportements antisociaux et une augmentation de la violence dans ces sociétés.