La société de propagande. Comment résister au goulag mental.

Si la propagande est un mot aujourd’hui difficilement assumable, cédant la place au terme poli de “communication”, elle n’en demeure pas moins un des leviers de pouvoir les plus importants pour assurer l’unité et la cohésion des sociétés modernes.

Qualifier de dérapage toute critique de l’immigration, condamner toute promotion de la préférence nationale, promouvoir la transsexualité chez les mineurs…
À chaque instant, la propagande s’invite sur nos écrans, à la radio et dans les journaux aux dépens de l’esprit critique et de la liberté de penser.

Pour des intérêts politico-économiques, le tribunal médiatique devient le baromètre de ce qui est acceptable dans le débat public. Quitte à marginaliser des idées partagées par une majorité des Français. Sous l’influence d’une gauche de plus en plus radicalisée, Trump est ainsi qualifié de “fasciste”, Hanouna de “populiste”, Retailleau de trop “radical” et Bardella “de nouveau visage de l’extrême droite”…

La société occidentale contemporaine peut à bon droit être qualifiée de “société de propagande”, une société où la propagande est massive et se trouve être le premier déterminant de contrôle du comportement social.

Le 21 novembre prochain, Jean-Yves Le Gallou, habitué du Cercle des Capitouls, vient nous donner les outils pour décrypter les manipulations et les mensonges d’État qui tentent d’orienter l’opinion, à coup de “novlangue” et de complaisances avec le pouvoir en place, afin de nous libérer du “goulag mental”.

Le Cercle des Capitouls vous donne rendez-vous le jeudi 21 novembre prochain, à 20 heures à Toulouse pour une conférence-débat qui sera suivie d’un cocktail.
Participation demandée à l’entrée : 5 euros.
Inscription obligatoire en cliquant sur le bouton ci-dessous ou par courriel à [email protected]