Parce que ses revenus sont souvent divisés par deux, ce type de foyer est plus exposé au risque de pauvreté, ce que toutes les statistiques viennent confirmer. 30% des foyers monoparentaux sont pauvres (contre 13% dans la population générale), selon les critères de l'Insee. Seule la moitié des mères de famille monoparentale occupent un emploi à temps complet et elles sont plus souvent au chômage que les femmes en couple. Et ces familles doivent conserver un logement assez grand pour accueillir leurs enfants malgré la réduction des revenus.
Des aides existent pour aider ces foyers, comme l'Allocation parent isolé, créée en 1976 puis fondue dans le Revenu de solidarité active (majoré pour les parents isolés) en 2009. Plus de 230.000 foyers touchaient le RSA majoré fin 2010. Mais ces aides comme la pension alimentaire versée par l'ex-conjoint ne suffisent pas à compenser la perte de revenu. Les parents seuls ont aussi plus de mal à concilier vie familiale et vie professionnelle.
Bref, il devient urgent de renforcer la famille, cellule de base de la société.
gerard
[…]
alain21
Sans compter les effets induits sur la pénurie de logements .
1 famille biparentale + 2 enfants = 1F3 = 75-80m2
Si les parents se séparent =
2 F2 = 2*50 m2= 100 m2 . Le parent qui n’a pas la garde permanente doit pouvoir accueillir ses enfants . Idem en cas de garde alternée .
Soit une augmentation de 33% de la surface nécessaire. A ce compte là , la France sera toujours en pénurie de logements .
Note : Calcul basé sur F1=25m2 , F2=50m2 ; F3=75m2 ,…..
Sancenay
“c’est,-sans doute aussi – continuer de progresser en affirmant que la responsabilité éthique ouvre des voies nouvelles de sagesse et de découvertes, plutôt que des impasses” comme dit Monseigneur D’ornellas dans le Monde du jour au sujet de la bio-sans-éthique.
chouan 12
Mais ce n’est pas avec les tocquards qu’on a que ça va s’améliorer